Nous poursuivons notre visite de ce trésor de l'île Saint-Louis.
Rappel: pour voir l'ensemble des articles consacrés à cet hôtel, cliquez sur le libellé Hôtel de Lauzun.
Après l'antichambre et le salon de musique, nous passons dans la chambre à alcôve.
Comme dans les châteaux, l'alcôve, légèrement surélevée, contenait le lit; une porte discrète (ici à gauche) donnait accès à la garde-robe.
Sachant que le lit était dans l'alcôve, sachant que l'alcôve était surélevée, fallait-il que ces gens fussent saouls pour avoir besoin d'un tel écriteau pour aller au lit !
La garde-robe, la voici. C'est le nom qui, à l'époque, désignait à la fois les toilettes, le cabinet de toilette et le dressing-room.
Retour dans la chambre avec ce plafond qui m'empêcherait de dormir s'il était au-dessus de mon lit...
Encore et toujours des peintures et des dorures !
Voici enfin la quatrième et dernière pièce de l'appartement d'apparat, le boudoir de Daphnis et Chloé:
Initialement, ce boudoir fut conçu pour être un cabinet, c'est à dire (à l'époque) un bureau où l'on se retirait pour travailler ou écrire.
Mais boudoir ou cabinet, les décorateurs n'ont pas faibli !
Le plafond à l'italienne propose une décoration profuse dont le centre représente Flore et Zéphyr, par Michel Dorigny.
Mais non ce n'est pas fini !
à suivre...
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