mardi 30 novembre 2010
Chapelle de l'hôpital Saint-Joseph
Au beau milieu d'un hôpital sans grâce, une chapelle enserrée dans les autres bâtiments; on y accède par les couloirs de l'hôpital. Outre le calme du lieu, vous pourrez y voir une surprenante série de vitraux ainsi qu'un tableau de A.L. Dapoigny d'une folle gaîté...
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKkcN77omUovIcb7je_8S3hF1QvMh9RTGcWgQqH17r_-nBQqcdRNdKhPY8xmKx4k006NzrNd9QCub1VhxitUxNtKypKWfzZT7WIlrUXAF7z2AA-pdL_jCZr5YWFMzAGuF5QxbhVUAUO4Rb/s320/DSC02305+%2528Large%2529.JPG)
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi31ZCOPe4GerX0jefSUjm48ce35PCyVmN5Zf6qon5hlxQ_6ukxeu43-UZNlbAFsL-UNPsEYXGQdPqA6gcb5Mbv8tWXOAXBV2H7F9Ffcu2loZcP0EoyRS4shKky2YkhQcDm1w9IqEzkaIJo/s320/DSC02308+%2528Large%2529.JPG)
lundi 29 novembre 2010
La Tour de Jean sans Peur - 2
Les Ducs de Bourgogne avaient adossé leur palais parisien à la muraille de Philippe Auguste. Une maquette nous montre la disposition des constructions à l'époque.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFm-aRb-5YXAMgH3EJcIsVeHGGPqVGUF-4-ekqhI_3PFxBVKhB-MN78ray40vcIg60J642PP_vxynuZa1-THZE6vvbS0fpovprLkiN10yZpdAm86v0rxGikFGc8FyNxzCwR8Ad5OmgdAG7/s320/1+%2528Large%2529+%2528Custom%2529.JPG)
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkViismgflebEhWug2QBvnho46Id5V7RQm6UL0xNBMvbSE8oH5tMTJ3P9ijUQUEiSToJ_YyHtsNZ1fkkNZ9yqX8_W6LeMaBGTUbv-9myb5chThjapWp5SBPC9tDhiI7EaeDYxNThGuOn5g/s320/2+%2528Large%2529+%2528Custom%2529.JPG)
Au rez-de-chaussée, le bureau du responsable est installé à l'intérieur d'une tour subsistante de la muraille de Philippe Auguste; serait-ce le bureau le mieux insonorisé de Paris ?
samedi 27 novembre 2010
Impasse de Mont-Louis
vendredi 26 novembre 2010
Musique place des Vosges
L'été, l'après-midi, sous les arcades de la place des Vosges, au coin de la rue de Béarn, soudain une musique...
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Place des Vosges, Paris III°.
jeudi 25 novembre 2010
Les escaliers du métro Abbesses - On remonte !
A la demande (quasi) générale, voici le second escalier de la station Abbesses, celui réservé à la montée. (Le descendant est ici).
Lors de la rénovation de la station (2007), la RATP a commandé ces oeuvres à des membres de l'Association des artistes "Paris-Montmartre".
Allez, en avant, marche ! (même Antiqua !)![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhCq5tUGjHdKv8KBnPCaGbbFHyrLx9hV1JWBpBgyY693mjwUy2Evgtwo3cgH3mAt_b1gypVZ1BOBB1ViS35DkGB4rzZHLBSChZ-h0hR5ox-PDN1hvyPDnAESjb5uAF147TZ7Sn7AQdWUwph/s320/DSC06147+%2528Large%2529+%2528Medium%2529.JPG)
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjos2wIwAoNXccM3bfxhMMW_1rn5gwAnqA9krgGWwBUw4jbrgLrpffhaQzNizwMqRp7k8kpeSuHxXVaiRpdc8KgWRRLa3IKWB_l3O2VBDmDe_ejL2yb0w898xr57sD8cKlPjhoQ9MJBznLd/s320/DSC06149+%2528Large%2529+%2528Medium%2529.JPG)
Lors de la rénovation de la station (2007), la RATP a commandé ces oeuvres à des membres de l'Association des artistes "Paris-Montmartre".
Allez, en avant, marche ! (même Antiqua !)
mercredi 24 novembre 2010
Heinrich Heine
Allemand, juif, athée mais surtout poète, Heinrich Heine est le Baudelaire allemand. Dès 1831, il s'installe à Montmartre où il aura une dizaine de domiciles. Depuis sa mort en 1856, il y repose toujours; sa tombe attire de nombreux admirateurs.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWnongBIIagFwVyWnjhuMjXNrGdmYlY6S_Za_HjC7gvwcNWQUiVTUjNFSXIBhZ9kre2yI04jV5AWIKJLw-xR-4uQfVN3eIyRBJyQr_ZtnWu1ziDv3tZ8pfIaG98XdQ9v5bPhdnINyVAS9D/s320/1+%2528Large%2529.JPG)
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfjjiU0oSDqJOHKlBoRjBemGo-_m2ZRJuwDofcyO4hgPEVfEB3j1f_kfZIXc-u0M6HBVOUaWB_mXRa5yxdVWyWZuRLnVB0t0gA2YIEinwLc6Z33K2kI1XwBC4scZcFL5xFiXyrT2VvKQN4/s320/2+%2528Custom%2529.JPG)
Cimetière de Montmartre, 27° section, avenue Rachel, Paris XVIII°.
mardi 23 novembre 2010
Le Salon Colonial de la mairie du XII°
En 1931, l'Exposition Coloniale Internationale de Paris se tint dans le bois de Vincennes, c'est-à-dire sur le territoire du XII° arrondissement parisien. La mairie, ne voulant pas être en reste, fit aménager par le fameux peintre africaniste Louis Jean Beaupuy, un extraordinaire "salon colonial" selon la terminologie de l'époque; aujourd'hui, on doit dire "Salon de la France d'outre-mer".
Ce salon existe toujours. Je vous laisse le regarder. Le regard du peintre sur nos colonies d'alors est... comment dire... parfois un peu daté !
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5bVp8csTkytylD8lZoDS253nAmjcnsLy8n34rCsxs0EuFWDmVIUMYtLJK-rgSVtSkijbCyy-9WROoft0s0uG9LZ7-J5N3MXOPvQNhSghrdxUi6g7HmzaiaXa3z_UafyQpNT8iArAyISI6/s320/1.JPG)
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhl9OH5un2bGqtPYtxfbA8c8q_4oUC6bIGb9ZEXxAGeco5eYd3v4m0dURYGE9Gcwrxp-9Ck5phngH8tFD9fb9-fpYys-9MEB-1maz3KzJPuuLqvvXveK6sXT8aDpNap_pttcH7DqRPWYdh0/s320/2+%2528Custom%2529.JPG)
Ce salon existe toujours. Je vous laisse le regarder. Le regard du peintre sur nos colonies d'alors est... comment dire... parfois un peu daté !
lundi 22 novembre 2010
La tombe de Napoléon à Sainte-Hélène
A l'ouest de l'église des Invalides, empruntez le "corridor de Nîmes" et trouvez la fenêtre qui a été transformée en baie vitrée. La tombe à peine cachée que vous voyez dans les arbustes est la première tombe de Napoléon, celle qui fut rapportée de Sainte-Hélène avec la dépouille de l'Empereur en 1840.
Cette cour n'est pas accessible au public mais si vous allez jusqu'au bout du couloir, vous verrez un escalier; grimpez une volée de marches et vous aurez cette vue:
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