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mercredi 18 janvier 2023

Le défenseur du temps bientôt de retour !

 Vous connaissez le défenseur du temps bien sûr !

2009, 2017, 2022... le feuilleton continue mais laisse enfin entrevoir une fin heureuse.






C'est grâce à la fondation Galeries Lafayette - Lafayette anticipations que la restauration a pu être menée à bien. 




Donc réjouissons-nous - ce n'est pas si souvent - le défenseur du temps va bientôt regagner ses pénates !






jeudi 5 janvier 2023

Un banc Davioud plutôt inattendu...

 Alors que, dans nos rues, les bancs Davioud ont tendance à disparaître, Claude P notre envoyé spécial a découvert celui-ci dans la nouvelle Samaritaine... On trouve tout... 






mercredi 14 septembre 2022

Le défenseur du temps - Quartier de l'horloge (3)

 En octobre 2009, Paris-Bise-Art se lamentait déjà en voyant l'état de ce quartier et le bel automate en panne perpétuelle... (Clic !)

En 2017, rebelote avec un nouvel article (Clic !)

Aujourd'hui, c'est Renaud G. qui nous alerte sur l'état du quartier. Mais il semble que les choses bougent si l'on en croit ce qui est affiché !




Pour mémoire, la "bête" telle qu'on pouvait la voir avant !


Rue Brantôme, quartier de l'horloge, Paris III°.

mardi 4 janvier 2022

Une queue de cochon bien solitaire !

 Nos lecteurs ont du talent !

C'est notre lecteur François de Coustin (@CoustinDe sur Twitter) qui nous a envoyé ces images prises dans l'ancienne rue d'Enfer, aujourd'hui rue Henri Barbusse.


Il faut regarder la mur de l'hôtel, au numéro 2 de la rue, en face du regard Saint Magloire.


L'hôtel a été rénové, on devine à droite un local technique. Il n' y a plus d'entrée de cave ni de soupirail.


Mais notre queue de cochon, elle, est toujours en place.


Merci à François de Coustin.

Allez faire un tour sur le site de son association, vous pourrez faire œuvre utile !


2 rue Henri Barbusse, Paris V°.


jeudi 1 juillet 2021

Une queue de cochon !

 Si vous vous promenez dans l'étroite rue Saint-Séverin, c'est probablement vers l'église et ses gargouilles que votre regard se portera.


D'autant qu'en temps normal, les éventaires des "boutiques à touristes" sont tout sauf excitants !


Mais si, par la grâce d'un confinement, vous vous trouvez là, vous pourrez admirer le haut niveau d'entretien du bâti et des boutiques parisiennes... 


Et vous pourrez voir cette porte habituellement masquée par les étalages.


Et qu'y a-t-il le long de cette porte ?
Une magnifique queue de cochon en état de marche !


Un grand bravo à Marc dont l'oeil de lynx n'est jamais pris en défaut !

6 rue Saint-Séverin, Paris V°.


mercredi 26 mai 2021

Remise du banc à l'hôtel de ville (2)

 La journée d'hier fut mouvementée pour les personnels de l'hôtel de ville de Paris: dès le matin, invasion du bâtiment par les employés municipaux. Ceux-ci resteront jusqu'en fin d'après-midi et réussiront même à grimper sur les toits. Autant vous dire que la situation était tendue.

Et puis le soir, il y avait les vilains "bourgeois réactionnaires" d'esstrème-drouatte qui venaient en délégation remettre le banc Davioud racheté à l'hôtel Drouot la semaine dernière...

Disons-le tout net, les images des émeutiers de l'hôtel de ville tournant en boucle sur les écrans ont dissuadé nombre de nos amis de venir nous rejoindre, mais qu'à cela ne tienne, nous étions là en nombre !

Avant l'heure dite (18h), l'ambiance est à l'attente, on se reconnait (ou pas), on papote, on s'interroge (sera-t-elle là ?), on fourbit ses appareils-photo...





Certains sont déjà à la dernière mode:



Les équipes de Paris-Bise-Art sont sur le pied de guerre, y compris notre envoyé spécial Claude P.


L'ambiance est bon enfant.



Et puis soudain, il apparaît !


Sur son trente-et-un, notre banc arrive à l'hôtel de ville !


Ceci n'est pas une mise en scène, c'est la triste réalité parisienne, sous les fenêtres de la maire...



Le banc est très entouré, d'autant que certains ont eu la bonne idée de faire graver un plaque pour rappeler aux générations futures notre combat (si j'en fais trop, dites-le moi).



Et puis soudain, un mouvement de foule vers la porte de la maison commune: c'est la maire !


Vérification faite, ce n'est pas la maire mais son premier adjoint monsieur Grégoire qui a la charge de nous recevoir (sur le trottoir).
Nous apprendrons par la suite que madame Hidalgo, en cette journée si calme à Paris, se trouvait à Montpellier pour parfaire sa stature de personnage national...


Voulez-vous que je vous dise ?
Même si je ne suis pas souvent d'accord avec monsieur Grégoire, je plains cet homme qui est abandonné en première ligne par sa patronne et sur les épaules de qui tout repose.
Nous aurons avec lui un très court dialogue "courtois mais franc" comme on dit dans les chancelleries, c'est tout.



Mais revenons vers les vraies vedettes de cette journée, comme ici Jacques Desse assailli par les télévisions. J'espère que vous avez visité sa librairie !


On essaie le banc:



Me Lucien (ici à gauche), le commissaire-priseur qui a grandement facilité l'achat de ce banc est aux places d'honneur, de même que Gilles Thomas pour qui rien de ce qui est souterrain n'est étranger !


Autre instant important, la remise des chèques aux trois associations amies, comme promis.


Et puis il est temps pour Cendrillon de regagner son carrosse:
 

afin de gagner sa nouvelle maison, le Pavillon de l'Arsenal.


Encore une fois, un grand merci à tous ceux qui, de près ou de loin, on participé à ce geste symbolique mais fort qui ne pourra pas être ignoré par la maire de Paris.

et peut-être à bientôt...

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