Suite de nos pérégrinations dans la ville de Compiègne, en attendant le château.
Au bout de la rue d'Ulm, nous traversons un tunnel de 56 mètres débouchant sur le faubourg. C'est la porte Chapelle et ses deux grosses tours, le tout donnant une bonne idée des remparts de Compiègne.
Où l'on s'aperçoit que le château a été édifié sur les anciens remparts:
Nous revenons sur nos pas et passons devant le château qui n'est pas encore ouvert, mais nous apprenons que les jardins eux sont accessibles. Nous contournons donc le château.
Après avoir longé les douves, une grille ouverte nous permet d'entrer dans les jardins.
Profitons de cette belle lumière matinale; le parc est à nous !
Vous voyez la petite porte à droite au pied de la terrasse ? Tout à l'heure, nous la ferons s'ouvrir !
Nous arriverons bien à le visiter, depuis le temps qu'on lui tourne autour...
Mais au fait, nous somme juste au centre de cette façade majestueuse...
Si l'on se retourne, nous voyons cette percée infinie de plus de six kilomètres qui se perd dans la forêt
On a beau s'éloigner du château, on ne voit pas la fin de cette avenue majuscule...
Nous sommes avenue des acacias; une grille clôt les jardins...
Zoom, zoom, il est là-bas le château !
À quelque distance (route tournante du grand parc), mon fougueux destrier marque l'arrêt devant une stèle à proximité d'une voie ferrée:
C'est la stèle du dernier train:
Ils sont partis par là...
Certains s'en souviennent:
Nous revenons vers le centre par l'avenue Royale. Nous longeons l'hippodrome et d'anciens grands hôtels donnant à ce quartier des allures de Deauville...
De retour dans le jardin du château... Regardez ma petite porte, elle est ouverte !
à suivre...
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