Ancien bal public, ce passage fut, le 26 mai 1871, témoin d'un épisode peu glorieux de la Commune. Cinquante otages, des Gardes de Paris, des gendarmes et des prêtres furent extraits de la prison de la Roquette et conduits ici pour y être abattus par la foule qui voulait se venger des exactions commises par les Versaillais.
3 commentaires:
Je suis passé par là, mais j'imaginais pas ce qu'il y avait derrière la porte. Très poignant..
C'est une voie privée, je me suis fait mettre dehors!
Quel dommage.
Heureusement que la Bombonnière dite du Sacré-Coeur a été construite pour racheter toutes ces fautes. Les Versaillais n'en avaient pas besoin malgré les 20.000 morts de la Semaine Sanglante.
Ces lieux manquent de noblesse et de mémoire. Dommage.
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