A part les bâtiments ce qui frappe le plus ce sont les enfants qui courent dans les rues, leurs terrains de jeu. Maintenant les enfants sont parqués et sous la surveillance des adultes, on leur réserve des zones bien aménagées. Pour retrouver l'ambiance de cette liberté perdue, lire ou relire "les allumettes suédoises" Robert Sabatier qui se passe à Montmartre, paru à la même époque.
Par ces documentaires des années que j'ai connues, je découvre que ce qui a changé dans Paris, ce ne sont pas les bâtiments (sauf que le confort n'existait pas encore ) mais les habitants , leurs origines sociales, leurs besoins , leurs contacts . Cela c'est perdu, pour le meilleur et pour le pire . Mais ce n'est pas en gardant le décor que nous retrouverons l’âme de Paris. Vouloir créer du lien social avec des associations (politisées), ne redonnera jamais la vie d'un escalier d'un immeuble populaire.
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A part les bâtiments ce qui frappe le plus ce sont les enfants qui courent dans les rues, leurs terrains de jeu. Maintenant les enfants sont parqués et sous la surveillance des adultes, on leur réserve des zones bien aménagées. Pour retrouver l'ambiance de cette liberté perdue, lire ou relire "les allumettes suédoises" Robert Sabatier qui se passe à Montmartre, paru à la même époque.
Par ces documentaires des années que j'ai connues, je découvre que ce qui a changé dans Paris, ce ne sont pas les bâtiments (sauf que le confort n'existait pas encore ) mais les habitants , leurs origines sociales, leurs besoins , leurs contacts . Cela c'est perdu, pour le meilleur et pour le pire . Mais ce n'est pas en gardant le décor que nous retrouverons l’âme de Paris. Vouloir créer du lien social avec des associations (politisées), ne redonnera jamais la vie d'un escalier d'un immeuble populaire.
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