Au 11 rue Pastourelle, cet hôtel à qui le financier Bertin laissa son nom, a perdu de sa superbe. On se souvient en effet de sa vie privée "assez tapageuse" (dixit Jacques Hillairet), des jeux d'argent et des maîtresses...
Qu'en reste-t-il ? Une cour surchargée de bâtiments annexes bâtis là quand le quartier regorgeait d'ateliers, et un escalier superbe non dénaturé:
Vous ai-je dit que j'aimais les escaliers ?
11 rue Pastourelle, ParisIII°.
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