La tour de l'horloge de la gare de Lyon

Le "Big ben" parisien.

Il y a neuf ans (déjà !), nous nous étions arrêtés devant cette tour de l'horloge de la gare de Lyon. Nous n'avions à l'époque pu monter que dans la partie "publique". L'accès à l'horloge n'était pas permis (Clic !).

Aujourd'hui, neuf ans après, notre envoyé spécial Claude P. est parvenu à grimper au sommet. Après le dôme du Sacré-Cœur, cette ascension le rapproche du diplôme si convoité de "grand grimpeur de Paris-Bise-Art" !

Nous nous rendons place Louis Armand dont le nom évoque un grand ingénieur qui fut aussi - entre autres - un grand patron de la SNCF.

Ceci est une photo artistique de la gare de Lyon !

Le beffroi, notre cible:

Les tétons du beffroi:

La première partie de l’ascension utilise ce bel escalier donnant accès à un centre d'affaires.

Une photo très difficile à réaliser: les deux côtés d'une fenêtre !

C'est ici que les choses sérieuses commencent:

Une première halte dans cette pièce aux drapeaux, souvenir du temps où les chefs d'états étrangers arrivaient par le train:

La montée continue

Nous sommes derrière un des quatre cadrans de l'horloge; chacun fait 6,40 mètres de diamètre

Plus haut, toujours plus haut, l'ascension continue après l'horloge

Et nous voici au balcon, dominant la grande ville.

Sur l'esplanade, on remarque un décor désormais caractéristique de Paris: des conteneurs...

Jolie vue sur la colonne de Juillet qui voisine avec un gros amoncellement de béton...

Maison !

Ici, le rocher aux singes du zoo de Vincennes voisine avec le clocher de l'église du saint-esprit (avenue Daumesnil), et entre les deux on aperçoit la tour-relais de télévision de Chennevières:

L’entrelacs des voies de la gare de Lyon. Tout au bout, la Méditerranée !

Un grand merci à Claude P !

Gare de Lyon, place Louis Armand, Paris XII°.