Jeu de la Sainte-Sabine

À la Sainte-Sabine, je fais la cuisine...

Mais vous, trouverez-vous où cette photo a été prise ?

 

Bonne chance à tous :

Où l'on redécouvre une section de l'enceinte de Thiers.

 Si vous vous rendez porte de la Villette, placez-vous en face de la charmante petite gare de marchandises. Que voyez-vous ? Un long mur.

Avant le tramway, cet espace était un terminus intermédiaire du bus PC; la RATP y a d'ailleurs oublié quelques édicules...

Mais regardez bien au milieu de ce long mur: la partie blanche a été rajoutée à la partie brune, plus ancienne. 

Vous ne me croyez pas ? Regardez cette vue aérienne actuelle où notre mur est fléché en rouge:

Et ici cette vue aérienne ancienne où l'on voit nettement la silhouette d'un bastion et donc à gauche la portion conservée:

Porte de la Villette, Paris XIX°.

Si le sujet des enceintes de Paris vous intéresse, sachez que Paris-Bise-Art vous propose quelques soixante-seize articles qui leur sont consacrés, dont neuf spécifiques à l'enceinte de Thiers.

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Aux utilisateurs de smartphones

 

Prison de la force (avec une antonomase dedans).

 La prison de la Force... Son nom évoque immanquablement la contrainte et la discipline. Mais ne vous y trompez pas, ce nom n'est que la terminaison du patronyme de Jacques Nompar de Caumont, duc de La Force, l'un des propriétaires de l'hôtel particulier initial.

Ce n'est qu'en 1780 que l'Etat rachète l'hôtel afin d'en faire une prison "moderne".

La "nouvelle" prison est divisée en deux: la "grande force" pour les hommes et la "petite force" pour les femmes. Le mot force devient alors un nom commun; c'est ce qu'on nomme une antonomase.

Regardez bien. Entre les vues d'hier et celles d'aujourd'hui, on retrouve un bout de mur qui semble avoir été oublié là; c'est un vestige !

Ah, une dernière chose: si vous avez la chance de visiter la caserne de Pompiers de la rue de Sévigné, regardez cette ancienne fenêtre murée, ce serait aussi un vestige de notre prison.

Intersection des rues Malher et Pavée, Paris IV°.

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La petite Alsace

 Dans une rue pentue de la butte aux cailles, une architecture surprend.

Cet ensemble pavillonnaire contraste avec son environnement. Construit en 1912 par l'architecte Jean Walter, il organise autour d'un jardin de 500 mètres carrés une quarantaine de pavillons tous construits  dans un style plus ou moins alsacien.

Nous sommes invités à entrer...

Comme un monde préservé, loin de tout:

Chut !

Regardez tout en haut, dans le fond du jardin!

Vous avez reconnu ces petites maisons identiques posées au sommet d'un immeuble; c'est la Petite Russie que nous avions visitée naguère.

Reconnaissez que du logement social comme ça, on en redemande !

Allez, Oruaar !

 

10 rue Daviel, Paris XIII°.

Jeu de la Saint-Christophe - La réponse

Je ne suis pas le seul qui ait été séduit par la douceur du paysage de cet étang de Ville d'Avray. Le peintre Camille Corot également, dont les parents avaient acheté une maison au bord de l'eau.

Quant à notre jeu, c'est Danielle qui a donné la bonne réponse; nous l'applaudissons tous très fort !

 

Jeu de la Saint-Christophe

 À la Saint-Christophe

Je vais à Malakoff...

Mais vous, où irez-vous pour voir ça ?

Pour répondre, utilisez le lien "commentaire" ci-dessous.

Bonne chance à tous !

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Chocolaterie Menier - Noisiel (3)

 À deux pas de l'usine, la famille Menier avait fait construire une véritable petite ville où l'on trouvait tous les services. Outre les commerces, on disposait d'un lavoir, de médecins, etc...

Vous noterez l'initiale M de Menier que nous trouverons un peu partout.

Au hasard, quelques plaques de rues !

C'est au milieu de l'immense place principale que se trouve ce monument à la gloire d'Emile Menier, le fondateur du village.

C'est sur cette place qu'avaient lieu les célébrations et autres fêtes.

Sculptures de Carrier-Belleuse

De part et d'autre de la place, deux hôtels-restaurants se font face; leurs chambres étaient réservées aux ouvrier(e)s célibataires. Mais chacun chez soi, on ne se mélangeait pas à l'époque !

Humour involontaire de l'époque: le bâtiment des pompes abritait les sapeurs-pompiers mais aussi les pompes funèbres !

Vous ai-je dit que les Menier s'étaient fait construire une voie de chemin de fer pour expédier leur production ?

Les anciens réfectoires étaient prévus pour les ouvriers n'habitant pas sur place.

Notez la forme rhomboïdale de la toiture due à l'architecte Louis Logre.

Chaque couple marié (bah oui enfin tout de même) avait le droit d'occuper un pavillon de 64 mètres carrés auquel s'ajoutait un jardin de 300 mètres carrés où il était possible de cultiver des légumes.

Les maisons d'angle, plus grandes, étaient réservées aux contremaîtres.

Des visites guidées sont organisées, renseignez-vous !

La ferme du domaine est aujourd'hui un centre de loisirs avec théâtre, cinémas, etc...

Voilà, la visite est terminée, n'oubliez pas le guide svp !

😄

Si vous n'avez pas vu l'usine, cliquez sur le libellé "Noisiel" ci-dessous.