Sous le quartier de la Défense, nous connaissions le métro, le RER, le tramway, mais il n'y a pas que ça!
Il vous faudra d'abord trouver la "voie des bâtisseurs" dans laquelle vous ne pourrez vous engager que si vous êtes taxi ou livreur; de toutes façons, vous ne pourrez pas y stationner.
Par le métro, la sortie en tête de quai à "Esplanade de la Défense" vous rapprochera du but, mais rien ne vous guidera vers l'antre de Patrice Moullet !
J'ai bien dit antre, d'aucuns parlent de "cathédrale inversée" car il nous faut descendre dans les entrailles de la Défense, dans un cadre pur béton peu éclairé... bref, ce n'est pas très engageant.
Un dernier escalier métallique et nous arrivons dans un atelier de mécanique générale mal éclairé... un tour, une fraiseuse, une presse... pas très musical tout ça.
C'est en poussant une dernière porte que nous découvrons un vaste espace tout en béton dans lequel s'entassent dans un ordre improbable d'innombrables bidules inconnus
Votre œil cherchera en vain un objet familier...
Dans un coin, une table de mixage professionnelle
Ne me demandez pas à quoi ça sert !
Au milieu de ce fatras métallique, un objet tranche par ses couleurs: une drôle de soucoupe volante multicolore.
Cette chose est un instrument de musique, un Omni (Objet Musical Non Identifié), une création de notre hôte, Patrice Moullet.
Cet instrument de haute technologie a déjà été exporté dans différents pays; le prochain part bientôt pour le M.I.T. aux Etats-unis.
Je vous encourage à visionner la vidéo qui se trouve à la fin de cet article; vous y verrez la façon de jouer de cet instrument hautement connecté. Et croyez-moi, voir ce vieil adolescent jouer avec ses pieds en dansant une samba est un spectacle rare !
Cet objet ressemble à une foreuse. C'est le percuphone dont la création remonte aux années soixante-dix.
Ce dernier instrument n'est pas une araignée ! C'est la "Stretch Machine" que vous verrez aussi en fonctionnement dans la vidéo.
Regardez s'il vous plait cette petite vidéo et n'oubliez pas de mettre le son !
Vous avez compris que cette visite ne peut pas se faire au débotté.
A moins d'être invité par Patrice Moullet, il vous faudra attendre une journée exceptionnelle comme "Paris Face cachée" ou des "portes ouvertes" pour descendre dans les entrailles de la Défense.
Il vous faudra d'abord trouver la "voie des bâtisseurs" dans laquelle vous ne pourrez vous engager que si vous êtes taxi ou livreur; de toutes façons, vous ne pourrez pas y stationner.
Par le métro, la sortie en tête de quai à "Esplanade de la Défense" vous rapprochera du but, mais rien ne vous guidera vers l'antre de Patrice Moullet !
J'ai bien dit antre, d'aucuns parlent de "cathédrale inversée" car il nous faut descendre dans les entrailles de la Défense, dans un cadre pur béton peu éclairé... bref, ce n'est pas très engageant.
Un dernier escalier métallique et nous arrivons dans un atelier de mécanique générale mal éclairé... un tour, une fraiseuse, une presse... pas très musical tout ça.
C'est en poussant une dernière porte que nous découvrons un vaste espace tout en béton dans lequel s'entassent dans un ordre improbable d'innombrables bidules inconnus
Votre œil cherchera en vain un objet familier...
Dans un coin, une table de mixage professionnelle
Ne me demandez pas à quoi ça sert !
Au milieu de ce fatras métallique, un objet tranche par ses couleurs: une drôle de soucoupe volante multicolore.
Cette chose est un instrument de musique, un Omni (Objet Musical Non Identifié), une création de notre hôte, Patrice Moullet.
Cet instrument de haute technologie a déjà été exporté dans différents pays; le prochain part bientôt pour le M.I.T. aux Etats-unis.
Je vous encourage à visionner la vidéo qui se trouve à la fin de cet article; vous y verrez la façon de jouer de cet instrument hautement connecté. Et croyez-moi, voir ce vieil adolescent jouer avec ses pieds en dansant une samba est un spectacle rare !
Cet objet ressemble à une foreuse. C'est le percuphone dont la création remonte aux années soixante-dix.
Ce dernier instrument n'est pas une araignée ! C'est la "Stretch Machine" que vous verrez aussi en fonctionnement dans la vidéo.
Regardez s'il vous plait cette petite vidéo et n'oubliez pas de mettre le son !
Vous avez compris que cette visite ne peut pas se faire au débotté.
A moins d'être invité par Patrice Moullet, il vous faudra attendre une journée exceptionnelle comme "Paris Face cachée" ou des "portes ouvertes" pour descendre dans les entrailles de la Défense.
5 commentaires:
QUELLE DECOUVERTE !!!!!Totalement fascinant, cet instrument est aussi beau visuellement que les sons qu'il produit.
Merci, nos jours seraient tellement plus vides sans vos partages.
Mais jusque où irez vous ?
je propose une notation pour vos articles de 17 à 20
17 excellent
18 hors de pair
19 académie française
20 prix Nobel
et 20 pour celui là
Au fait "l'homme nie ", ça concerne François Fillon ?
ok zéro pour le calembour
Les machines me rappellent celle du film "la machine à explorer le temps" des années 50 avec Rod Taylor
Belle découverte.
C'est mieux quand c'est le Maître qui joue.
Cela dit, je préfère la fin - à partir de 8:25 - c'est plus mélodieux (comprendre : moins odieux pour mes zoreilles ;-))
En fait, je préfère nettement ce genre d'instrument.
Cet endroit de La Défense me rappelle l'immense studio souterrain de feu Raymond Moretti, et son monstrueux dragon tapi au fond de sa caverne. Je me souviens vaguement l'avoir découvert par inadvertance dans les années 1980. Mais faut pas trop m'en demander là-dessus, j'ai dormi depuis ce temps là !
Heureusement qu'il y a les archives de l'EPAD pour me rafraîchir la mémoire.
Le monstre de Moretti est une de mes cibles... depuis huit ans !
Mais je l'aurai un jour, je l'aurai !
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