Au 3 bis rue des Gobelins, un immeuble en briques nous présente une grille (digicode corruptible) qui dissimule un trésor.
Quelques pas et nous voilà dans la cour d'honneur de la "grande maison des Gobelin", du nom (d'origine flamande) de la famille de teinturiers qui s'installa ici au XVI° siècle.
Le perron a encore fière allure
À droite du perron, un passage voûté attire notre attention
Oui, oui, nous sommes à Paris !
La deuxième cour dans laquelle nous arrivons donne l'impression que le temps s'est arrêté
Une porte naine:
Ici, quelque-chose me dit qu'il y eut jadis un atelier de photographie...
Tout au fond de la cour, une église angélique (Bah quoi ?)
C'est curieux cet alignement de colonnes toscanes, non ?
Vous êtes devant l'ancienne orangerie de l'hôtel Mascarini. C'est ici qu'un certain Jean de Julienne, directeur de teinturerie, exposait ses collections d’œuvres d'art dont les tableaux de Watteau, son ami.
Voici à quoi ressemblait l'orangerie avant que les actuels propriétaires ne la restaurent.*
* Je sais, j'eusse dû dire "restaurassent", mais n'eût-ce point été un peu lourd ?
© Charles Lansiaux / DHAAP / Roger-Viollet |
Cette longue galerie est aujourd'hui occupée par un architecte qui ne manque pas d'humour !
En sortant, ne quittez pas cette rue sans aller à quelques pas, au n° 19 (Clic !)
3 bis rue des Gobelins, Paris XIII°.
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