Vingt-troisième édition de cette chronique montrant l'état d'un petit morceau de rue parisienne (rue de Clignancourt) où la saleté devient la norme comme ailleurs à Paris.
Prenons le temps de faire ce que devraient faire les responsables de la propreté de Paris s'ils faisaient ce pour quoi nous les payons, à savoir débriefer l'action de leurs services:
Prenons ce pied d'arbre, enfin ce qu'il convient d'appeler maintenant un espace de végétalisation, que voyons-nous ?
Que le tas de prospectus qui était là depuis dix jours a enfin été enlevé (cercle rouge):
Mais que les autres ordures situées à vingt centimètres ont été laissées là (cercle rouge):
Regardons à présent ce pan de mur promis à une végétalisation verticale dans le programme de foutage de gueule démago-populiste budget participatif il y a deux ans:
On est venu pour la deuxième fois en un an décoller les affiches sauvages.
D'aucuns vont probablement s'en satisfaire... Moi pas !
Est-ce cela un mur propre ?
Quid des tags dont certains ont plus d'un an ?
Quid des litre d'urines ?
Si c'est cela que nos responsables considèrent comme propre, je n'aimerais pas voir leur domicile...
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