Vous souvient-il de cet amour de petit grand magasin du boulevard des capucines où tout n'était que luxe et raffinement ?
25 boulevard des capucines, Paris II°.
Vous souvient-il de cet amour de petit grand magasin du boulevard des capucines où tout n'était que luxe et raffinement ?
25 boulevard des capucines, Paris II°.
La cité de Londres (à ne pas confondre avec la city of London) s'ouvre entre les numéros 13 et 15 de la rue de Londres. Cette ancienne voie privée tire son nom de la rue homonyme ainsi nommée car elle a été créée lors du lotissement du quartier de l'Europe dans lequel toutes les rues portaient le nom d'une capitale.
Cité de Londres, Paris IX°.
Je trouve que Marc S. est bien cruel avec vous. Il vous envoie une énigme si difficile que même moi, je n'aurais pas osé la poser !
Bon, essayez quand même...
Où a-t-il pris cette photo ?
Bonne chance à tous !
Notre envoyé spécial Claude P est comme moi, il a horreur de la grande distribution. C'est pourquoi il se tourne vers le commerce de proximité.
À l'extrémité de la rue Rembrandt, littéralement au bord du parc Monceau, se trouve ce bel immeuble en faux Louis XIII:
16 rue Rembrandt et 4 rue Murillo, Paris VIII°.
Regardez bien cet œil-de-bœuf... Il ne l'a pas toujours été...
Où ai-je pris cette photographie ?
Bonne chance à tous !
Voici la plaque évoquée dans notre dernier jeu à sa place, face à la mairie du XI°,
À l'emplacement où jadis, se tenait la statue du Prince Eugène:
o tempora, o mores !
Surplombant le square du Temple, un grand et bel immeuble fait l'angle avec la rue Paul Dubois.
18 rue Perrée, Paris III°.
Des plaques en hommage à des animaux morts, ce n'est pas courant.
En voici trois exemplaires:
La première se trouve à Saumur, au musée du cheval.
On peut voir la deuxième en banlieue parisienne, à Yerres:
Mais où se trouve la troisième ?
Nous sommes dans l'ex-quatrième arrondissement, entre la place Baudoyer et l'église St-Gervais.
Il existait alors sur ce terrain un cimetière dépendant de l'église, les pourtours de celui-ci faisant office de charniers pour les plus pauvres, comme il était d'usage à l'époque.
Lors de différentes fouilles, on y a retrouvé des sépultures mérovingiennes, c'est vous dire si les morts étaient vieux !
Le pourtour du cimetière vit pousser des échoppes puis des immeubles de rapport y furent construits, ceux que nous voyons aujourd'hui.
Le cimetière fut définitivement fermé en 1786.
Après une période où toutes sortes d'ateliers s'y installèrent, l'espace de l'ancien cimetière fut vendu à la copropriété des immeubles le surplombant et c'est depuis lors un jardin privé inaccessible au public.
Cependant, si l'on se place devant le quinze rue des Barres, on aperçoit notre jardin:
Cela faisait quelque-chose comme neuf ans que j'attendais mon heure... C'est vous dire si ma joie fut grande lorsque, profitant de la présence d'un chantier, je pus pénétrer dans un des immeubles de la rue François Miron et m'accrocher de la plus acrobatique façon pour prendre ces dernières photographies. Un grand merci aux ouvriers !
Rue des Barres et rue François Miron, Paris IV°.