Je ne sais pas vous mais - peut-être est-ce dû au confinement - j'ai l'impression que les mois et les années passent de plus en plus vite...
Nous célébrons aujourd'hui le quatorzième anniversaire de Paris-Bise-Art, nous entrons dans la quinzième année !
Qui aurait parié un kopeck que l'aventure allait durer si longtemps ? Pas moi en tous cas, qui découvrais alors simultanément le scooter et l'appareil-photo numérique...
Alors, que vous dire ? Que l'année écoulée a été un lit de roses ? Certainement pas. Bien au contraire.
La mairie de Paris a déclaré la guerre à tout ce qui bouge, dépensant des fortunes pour créer une thrombose généralisée, sacrifiant la vie de multiples quartiers où les commerces ferment, et j'en passe...
Les agents municipaux tentent de combler le tonneau des Danaïdes que constituent les finances municipales en distribuant à l'envi des amendes de luxe...
Bref, la "ville lumière" se meurt...
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Voyons maintenant quelques chiffres:
Paris-Bise-Art c'est:
De 500 à 2000 visiteurs par jour,
Des lecteurs venant de 150 pays
4614 articles
36412 photographies
299 abonnés-membres
206 abonnés-courriel
Et sur Twitter, c'est
102,1 K tweets
4085 abonnés
Que nous disent ces chiffres ?
D'abord une remarquable stabilité du lectorat de Paris-Bise-Art (J'eusse préféré une progression).
Une augmentation de 30 % du nombre d'abonnés Twitter.
Il convient cependant d'observer le départ de quelques twittos ces derniers jours, sans doute apeurés par le changement de direction chez l'oiseau bleu...
D'ailleurs, j'ai d'ores et déjà ouvert un compte de secours chez Mastodon au cas où... (Clic !)
À ce propos, si vous connaissez d'autres alternatives à Twitter, faites-le moi savoir !
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Le site Commerces Immarcescibles se porte bien, sans grand changement.
Quant au site "La bibliothèque de Paris-Bise-Art", il souffre de l'emploi du temps surchargé de votre serviteur; je promets de faire un effort !
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Tout le monde parle de Twitter ces temps-ci, les conjectures pleuvent, les annonces abondent, surtout en provenance de ceux qui ne savent rien...
Pour ma part, j'applique la devise héritée de ma vie britannique: Wait and see !
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J'observe qu'en plus de nos contributeurs habituels, de nouveaux amoureux de Paris nous envoient des photos qui viennent compléter celles -nombreuses - de notre célèbre envoyé spécial Claude P. Faites comme eux !
Il est des coutumes qu'il importe de respecter !
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PARIS-BISE-ART est un grand adolescent; TRES BON ANNIVERSAIRE ! Et puissions-nous longtemps, encore, suivre notre chère "GRENOUILLE C'EST MOI"
RépondreSupprimerMerci pour toutes les visites et découvertes que vous mettez à notre portée.
Très bonne quinzième année !
Félicitations et remerciements pour ce beau parcours émaillé, d'enquêtes magistrales et d'images magnifiques.
RépondreSupprimerLongue vie à JPD afin que Paris-bise-art vivent encore très longtemps.
Merci pour la flûte de champagne, tchin, tchin !
À la santé de Paris-bise-art, de son auteur et de tout son lectorat :-)
bravo
RépondreSupprimerjoyeux zanniversaire
continuez comme ca et surtout ne changez rien
Si, si, l'auteur du blog peut changer quelque chose d'important !
RépondreSupprimerHalte aux déplacements en vroom thermique, qui réchauffent horriblement Gaïa ! Voyez le résultat : à cause de la pétrolette à JPD, il n'y a plus d'eau dans les fontaines parisiennes !
Place au vélo, écologique et apaisant !
De plus, ça fera plus de place dans la rue pour que le taxi diesel de M. Belliard, grand promoteur du cyclisme, se faufile jusqu'à la mairie de Paris !
Pour le reste, ce site est un symbole d'espoir : on peut réussir dans la vie et séduire plein de lecteurs malgré un physique... pas facile tous les jours ! :-)
Bon, je disparais avant le passage de la dératisation...
Très bon anniversaire
RépondreSupprimerA bientôt pour de nouvelles aventures urbanistiques
La stabilité du lectorat de Paris-Bise-Art me paraît hélas assez logique.
RépondreSupprimerGrâce à la politique municipale "inclusive" d'Anne Hidalgo, des milliers de Parisiens quittent la ville chaque année, à un rythme qui s'accélère.
Ils vont voir si l'herbe est plus verte ailleurs que dans les "végétalisations" plastifiées et taguées, riches de mégots, déchets divers et rongeurs.
Il y a fort à parier que ces ex-Parisiens écœurés s'instruisent plutôt sur l'histoire de la chocolatine en s'installant dans le sud-ouest, plutôt qu'aux curiosités de la ville qu'ils ont quitté ! :-s
Et ce n'est pas la politique fiscale... disons "audacieuse" de la mairie qui va inverser la tendance en 2023...