Mine de rien, ceci est le cinquième article consacré au Mont-Valérien et ce n'est qu'aujourd'hui que nous voyons l'impressionnant Mémorial de la France combattante...
Pour mémoire, nous avons déjà vu:
1 - Forteresse du Mont-Valérien - Le premier mémorial - Le cimetière abandonné
2 - Forteresse du Mont-Valérien - Le colombier militaire
3 - Forteresse du Mont-Valérien - Le musée des transmissions
4 - Le cimetière américain de Suresnes
En 1958, le général de Gaulle charge l'architecte des bâtiments civils et palais nationaux Félix Brunau d'édifier un véritable monument appelé à remplacer celui - provisoire - placé dans une casemate.
Le général inaugurera ce mémorial le 18 juin 1960:
Au fond d'une esplanade artificielle de plus de mille mètres carrés, un mur en grès des Vosges de 150 mètres de long porte deux groupes de huit hauts-reliefs en bronze. An centre s'élève une croix de Lorraine de 12 mètres de haut au pied de laquelle brûle en continu la flamme de la France combattante.
Je vous laisse observer et décrypter la symbolique de chaque sculpture.
Sur le pied de la croix, on peut lire cette phrase extraite de l'appel du 18 juin:
"QUOI QU'IL ARRIVE LA FLAMME DE LA RESISTANCE NE S'ETEINDRA PAS."
18 juin 1940 Charles DE GAULLE
La flamme de la France combattante:
N'allez pas croire que vous en avez fini avec le Mont-Valérien; il nous reste des choses à voir !
Esplanade du Mont-Valérien, Suresnes (Hauts de Seine).
Très belles sculptures, d'une symbolique très émouvante, à des années-lumière du pseudo art contemporain qu'on subit aujourd'hui.
RépondreSupprimerAh ! Une petite faute d'orthographe :
un véritable monument appelé à remplacé
au lieu de :
un véritable monument appelé à remplacer
Merci de votre vigilance, c'est corrigé !
RépondreSupprimerDans ces cas-là, la coutume veut que l'on incrimine le correcteur d'orthographe; le problème, c'est que je l'ai débranché !
et oui mais bon quand c'est publié, la faute de frappe devient faute d'orthographe (humour)
RépondreSupprimerje note deux sculpteurs ayant une certaine notoriété alfred janniot qui a fait des bas reliefs haut relief de lycées franciliens et maurice calka qui a un petit musée dans paris qui accueille en résidence des artistes
RépondreSupprimerUn musée ? Où ça, où ça ????
RépondreSupprimerOups j'ai confondu avec le musée atelier Roy Adzak, 3 rue Jonquoy 75014
RépondreSupprimerCela n'enlève rien à la notoriété de Calka
Y'en a qui chipotent, hein !
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