Arriva JPD l'amoroso , croqueur d'amour , l'oeil de velours comme une caresse JPD l'amoroso , toujours vainqueur , parfois sans coeur , mais jamais sans tendresse
N'oublions pas "bloguer", cette inoubliable chanson de JPD !
Laissez-moi bloguer Laissez-moi Laissez-moi bloguer, circuler en liberté Tout l'été Laissez-moi bloguer Laissez-moi Aller jusqu'au bout de Paris
Moi je vis D'articles et de risques Quand ça n'va pas Je carbure autour de l'obélisque Je vais je viens, j'ai appris à vivre Comme si j'étais libre Et en équilibre
@ JPD : non, pas Jean-Luc ! (merci pour la découverte, j'arrive rarement à retenir les noms des paroliers). C'est bien François qui est l'auteur du poème à Dalida, c'est écrit sous la vidéo : "Dalida 15 ans Déjà : Line Renaud lit un poème écrit par François Morel".
Le point commun entre nos deux chanteurs est le bourg de Serrastretta en Calabre dont les grands parents de Dalida et la mère de Claude François étaient originaires
L'autre point commun est que la maison de Dalida rue d'Orchampt n'est qu'à 100 mètres à viol d'oiseau du domicile de Cloclo et de sa première femme Janet, au 3 rue Véron. PBA en navet parlé https://paris-bise-art.blogspot.com/search?q=rue+V%C3%A9ron&x=0&y=0
Entre Dalida et JPD, il y avait comme un petit air de famille...
RépondreSupprimerArriva JPD l'amoroso , croqueur d'amour , l'oeil de velours comme une caresse
RépondreSupprimerJPD l'amoroso , toujours vainqueur , parfois sans coeur , mais jamais sans tendresse
N'oublions pas "bloguer", cette inoubliable chanson de JPD !
RépondreSupprimerLaissez-moi bloguer
Laissez-moi
Laissez-moi bloguer, circuler en liberté
Tout l'été
Laissez-moi bloguer
Laissez-moi
Aller jusqu'au bout de Paris
Moi je vis
D'articles et de risques
Quand ça n'va pas
Je carbure autour de l'obélisque
Je vais je viens, j'ai appris à vivre
Comme si j'étais libre
Et en équilibre
(...)
Orlando, sors de ce corps !
RépondreSupprimer(mais par où est-il entré ?)
Par un trou de souris, probablement ! ;-)
RépondreSupprimerQuand verrons-nous un reportage sur JPD dans son hôtel particulier de Montmartre ?
RépondreSupprimerAvec une séquence chez le fromager rue Lepic... :-)
P.S.: ah, on me signale que Dalida aurait été inspirée par la chanson "Paroles... Paroles" en écoutant des politiciens à la télé...
Au fait quel est le lien entre Dalida et Claude François , hormis le fait que les deux soient nés en Egypte
RépondreSupprimerIls ont tous deux habité Montmartre ?
RépondreSupprimerCellezéceux qui écoutent France-Inter savent qui est François Morel.
RépondreSupprimerMais quel est le lien entre Morel et Dalida ?...
Réponse
Paroles
JPD chanterait des airs de ces deux chanteurs sous sa douche ?
RépondreSupprimerVous pensez à Jean-Luc Morel ?
RépondreSupprimer@ JPD : non, pas Jean-Luc ! (merci pour la découverte, j'arrive rarement à retenir les noms des paroliers).
RépondreSupprimerC'est bien François qui est l'auteur du poème à Dalida, c'est écrit sous la vidéo :
"Dalida 15 ans Déjà : Line Renaud lit un poème écrit par François Morel".
Le point commun entre nos deux chanteurs est le bourg de Serrastretta en Calabre dont les grands parents de Dalida et la mère de Claude François étaient originaires
RépondreSupprimerMerci de l'info, je me savais pas !
RépondreSupprimerL'autre point commun est que la maison de Dalida rue d'Orchampt n'est qu'à 100 mètres à viol d'oiseau du domicile de Cloclo et de sa première femme Janet, au 3 rue Véron.
RépondreSupprimerPBA en navet parlé
https://paris-bise-art.blogspot.com/search?q=rue+V%C3%A9ron&x=0&y=0
Je vois bien un autre point commun, certes un peu ténu !
RépondreSupprimerDalida vivait à 30 mètres du moulin de la Galette, Cloclo vivait au moulin de Dannemois...
Certes, un est à vent, l'autre à eau !
viol d'oiseau , le calembour est il du à une faute de frappe ?
RépondreSupprimerNon, juste une pulsion aviaire !
RépondreSupprimerDepuis le film "les Oiseaux", JPD a pris les canards en grippe !
RépondreSupprimerMais il n'a pas encore vu le film "les Rats", un remake qui se déroule dans le Paris d'Hidalgo...
C'est bon un magret de canard !
RépondreSupprimerTiens, je vais relire une enquête du commissaire Magret !
RépondreSupprimer