Je vous rappelle que cette énigme est toujours "pendante" ; si quelqu'un voulait bien me donner la solution, je lui en serais éternellement reconnaissant !
Rappelons que cet objet se trouve adossé à un des piliers soutenant la station de métro Dupleix, qu'il est en fonte, et que personne à la Ratp ne connaît son usage...
Bonne chance à tous !
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Contrairement à toute attente, je suis sur une piste...
RépondreSupprimerPatience !
Le champagne est au frais, je suis prêt !
RépondreSupprimerDu calme ! d'ici que je trouve la solution il peut passer beaucoup d'eau sous les ponts.
RépondreSupprimerPour l'instant, j'ai tiré un fil dans la pelote et je le suis patiemment.
Le problème c'est qu'il peut m'amener à trouver un truc similaire au machin, comme il peut tout aussi bien déboucher sur rien !
Ce problème me hante!!!
RépondreSupprimerVoici le résultat de mes recherches qui (comme je le pressentais) n'ont pas apporté LA solution. Mais une simple piste, basée sur le seul indice tangible, gravé sur le corps de ce machin qui semble être en fonte : RIVIÈRE.
RépondreSupprimerDonc, partie de "Rivière" associé à "fonderie" je suis arrivée sur cette notice de l'Inventaire général du patrimoine culturel dans laquelle on peut lire, entre autres, les informations suivantes :
Un autre établissement dont ne subsistent pas de vestiges a laissé son empreinte dans la mémoire foncière et industrielle de la ville, l'usine de matériel agricole Savary et la fonderie Rivière qui, ensemble, ont occupé un site important en basse ville.
Alexis Savary, ingénieur, chef d'entreprise, maire de Quimperlé entre 1878 et 1892, puis sénateur du Finistère en 1894, fonde une usine de fabrication de matériel agricole en 1873 et s'associe à la fonderie Rivière peu de temps après.
Les ateliers industriels occupent des terrains proches de l'Isole, dans le quartier du Gorréquer.
Savary et Rivière diversifient leur production dont la notoriété dépasse le cadre régional en se spécialisant dans la fabrication de mobilier scolaire et de matériels de chemin de fer, de génie militaire, de postes et de télégraphes..
Ces ateliers figurent sur des photographies anciennes ainsi que sur le plan de la ville levé en 1925 par Troalen ; ils sont partiellement transférés sur le site de Kergostiou au sud de la gare, puis fermés en 1993. (j'ai ajouté des retours à la ligne pour rendre ce texte plus lisible).
Il y avait donc un Louis Rivière fondeur, associé à l'entreprise Savary qui produisait entre autres des matériels ferroviaires. Fabriqué par RIVIÈRE, le "machin" en fonte disposé sur un pilier du métro pourrait bien provenir de cette fonderie de Quimperlé.
Malheureusement, il n'est pas facile d'obtenir des informations précises ou mieux, illustrées, sur la production des matériels ferroviaires dont parle la notice. Pour l'instant j'ai échoué.
Maintenant, je sais par expérience qu'une recherche par internet dépend énormément des mots-clés employés. Peut-être n'ai-je pas su trouver les bons. Ou peut-être que les informations recherchées ne se trouvent pas (pas encore ?) sur la toile...
Si des lecteurs, proches de Quimperlé, pouvaient prendre le relai, il devrait être possible d'obtenir les informations en question.
D'autant plus qu'il y a une interview d'un descendant de Louis Rivière (portant le même nom que son aïeul) qui prouve que des personnes se sont intéressées à la question il n'y a pas très longtemps...
Par ailleurs (pour corser l'affaire !) il y avait une Fonderie Rivière a Decazeville. Pas de chance, elle a été démolie en 2007.
Et zut ! l'esprit encore tout occupé par mes explications détaillées dans mon commentaire précédent, j'ai encore oublié de me déconnecter du profil gogol !!!
RépondreSupprimerBienvenue à Quimperlé, Tilia, vous allez en cherchant bien trouver le nez que je me suis cassé dans cette sympathique cité... J'ai même quelque-part la photo de l'ancienne usine, c'est dire.
RépondreSupprimerCe que je crains, c'est que des données appartenant ou concernant une entreprise fermée n'ont jamais eu l'occasion d'être digitalisées et sont donc aujourd'hui introuvables sur internet.
Il existe probablement des catalogues, des factures, des réclames, mais tout ça doit être confiné dans des boîtes d'archives-papier.
Vous avez raison, il nous faudrait trouver quelqu'un sur place qui ait le temps de farfouiller les bibliothèques ou les archives locales.
En tous cas, bravo pour cette enquête, mais il faut continuer !!! Et pourquoi pas des prochaines vacances en Bretagne ?