Bonjour ! Cette coquille se trouve-t-elle bien à Paris ? ou en banlieue ? Vu que l'envoyé spécial de PBA est susceptible de se déplacer à l'étranger ;-) si ce n'est, ni à Paris ni en banlieue, est-ce bien en France ?..
Ouh lala, il s'en ait passé des choses depuis trois semaines ! Il me faut récupérer le décalage horaire...et lire tous les articles... avant de chercher où se trouve cette coquille. Bonnes recherches à toutes et tous.
@ Nina: Si je comprends bien votre question, si on n'y travaille pas, on est mort ! Bah disons simplement qu'on y vit, mais qu'avec les nouvelles habitudes de télétravail, on peu très bien y travailler aussi !
Il s'agit d'un immeuble, mais je n'ai aucune idée de la fonction de cette coquille. Pour tout vous dire, j'espère que les cerveaux de PBA sauront tout nous dire !
Cette coquille se situe donc sur un immeuble à Paris. Trouve-t-on ces coquilles dans le 7e arrondissement ?
Par exemple dans une bouche d'égout du Champ-de-Mars, à l'image de la pâte à crêpes vendue aux touristes, comme dans tout pays du tiers-monde qui se respecte ? :-)
Ce serait extraordinaire que ladite coquille soit placée de telle sorte qu à un jour donné le soleil levant ou couchant épouse à la perfection le cercle entourant ladite coquille mystère...
Les précédentes questions de Nina laissaient entendre qu'elle parlait du 6e, puisque vous aviez répondu non à l'Anonyme qui proposait le 14e... et vous ne l'avez pas détrompée, ainsi que moi par la même occasion ! c'est purement machiavélique.
Je sais ce que représente la photo, mais (courte rue, ou rue étroite) je n'ai pas trouvé l'adresse puisque je cherchais dans le 6e :-(
De toute façon, je pense que la personne Anonyme de 12h32 a trouvé.
Eh bien je viens d'arpenter quelques "petites rues " du XVIe , mais pour l'instant je suis bredouille... je vais donc faire une pause à la terrasse d'un café en attendant que quelqu'un trouve la bonne voie !!!
Récapitulons donc: XVI, petite rue, ouest. Peut-être batiment religieux ou géré par l’église, non normalement ouvert au public. Est-ce peut-être la maison de retraite du côté de l’avenue Mirabeau?
Marc S avait raison, c'est un immeuble récent (tout juste 45 ans) : https://www.meilleursagents.com/prix-immobilier/paris-75000/rue-leconte-de-lisle-3388/25/
j'ai rearpenté quelques artères après les informations d'orientation, mais je suis re bredouille ce soir..Je suis peut-être passée à côté sans voir, à force de chercher quelque chose, on finit en fait par le manquer. Il me faudrait une brigade de flâneurs comme Hercule Poirot et Columbo - pas Miss Marple, elle est trop âgée et se fatiguerait trop vite :) - pour sillonner la zone.
Bravo à Tilla ! Et merci pour cette promenade estivale dans le XVIe arrondissement. Je suppose que le promoteur ou l'architecte était un fin lettré et que ce simili cadran solaire était un clin d oeil à Leconte de Lisle !
Merci pour le bravo. Je partage votre idée au sujet du constructeur de cet immeuble dont le fronton, les mascarons et l'entrée semblent dénoter un souci d'intégration, vu la proximité avec les immeubles d'Adolphe Thiers. À ce sujet, lire aussi "17 à 23 rue Leconte de Lisle" page 356 de ce document.
Concernant les mascarons, ils sont situés au 5e et dernier étage, juste au-dessus des fenêtres de gauche et de droite. Autant qu'il soit possible d'en juger sur la photo de la voiture Google, ils ressemblent à des têtes de bélier. Pour en être sûr, il faudrait les photographier séparément. Si Claude P à l'occasion de repasser à cet endroit, mon insatiable curiosité en serait grandement satisfaite.
En attendant, j'enquête pour essayer de trouver le nom du constructeur de cette immeuble atypique.
je vous remercie pour les liens sur les documents. La construction étant récente, je me suis demandée s'il n'y avait pas eu auparavant un autre bâtiment, une parcelle libre me paraissant assez improbable dans ce quartier. J'ai découvert qu'un Mr André Coulombel (décédé en 1957) agent de change de son état (sa petite famille et ses domestiques) demeurait au 25 rue Leconte de Lisle en 1926.
PS : je ne suis pas Marc S mais Danielle P (la même anonyme que celle du 10 octobre 12 h 32 qui n'avait pas trouvé en fait!) il faudra à l'avenir que je m'identifie car j'adore les énigmes de Monsieur Paris Bise Art et je martyrise mon clavier pour répondre !
Ravie de vous compter parmi l’équipe des mordu(e)s de Paris-Bise-Art ! Bravo pour votre découverte, je vois que vous maîtrisez l'art de farfouiller dans les anciens annuaires et les archives d'état-civil ;-)
De mon côté j'ai trouvé ici les coordonnées postales de quelques résidents de cet immeuble. Cependant je doute que l'un d'eux soit assez âgé pour avoir été l'un des premiers propriétaires.
Le Sndic aurait peut-être dans ses archives des renseignements sur l'architecte. Il faudrait que je le contacte pour tenter de satisfaire la curiosité que j'éprouve à l'encontre de l'étrange décoration de cette façade vraiment étonnante.
Détail découvert hier : les deux boules surmontant les balustrades, de part et d'autre de l'entrée de l'immeuble, sont en fait des globes terrestres ! Cliquer ici pour les voir de près.
Je me demande s'il existe un ou plusieurs autres immeubles parisiens du même genre, construits dans les années 70-80 par l'architecte de cet immeuble...
Chapeau pour cette excellente trouvaille ! Les informations concernant JP Hurion étant antérieures à l'année de construction de l'immeuble en question, j'ai recherché ce qu'il a réalisé dans les années 1970 mais je n'ai rien trouvé de différend par rapport à la décennie précédente. J'en déduis que l'immeuble à la coquille est une exception dans sa carrière (sans doute une commande spéciale) et que les différents éléments du décor de la façade ont été réalisés conformément à la demande du client...
Du coup je suis retournée sur Gallica. Encore merci pour le lien vers le Bulletin Municipal Officiel de la Ville de Paris. En avançant un peu dans le temps, il s'avère qu'en 1977 la façade a été modifiée : "16 e arr. — 25, rue Leconte-de-Lisle. — Pét., Société civile immobilière du 25, rue Leconte-de-Lisle, M. Imbert, 14, cité Lemercier (17 e ), le même, arch. — Transformation de façade et déplacement d’un escalier intérieur."
dans cette page : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k32103983/f6.image.r=Leconte%20de%20Lisle
Comme il se fait tard, j’approfondirai ce la demain
merci pour le document sur la suite des travaux. Il faudrait pouvoir consulter le permis de construire et de modification de façade ou mieux encore les descriptifs des travaux pour avoir enfin la clé du mystère ! Je me demandais si le simili cadran solaire, les globes, les têtes de bélier et les deux vases ou jardinières que l'on aperçoit de chaque côté de la coquille ne seraient pas des vestiges de la propriété précédente que notre architecte aurait décidé de conserver... Je rêve depuis longtemps de la machine à remonter le temps :)
Suite de mes recherches dans le Bulletin Municipal Officiel de la Ville de Paris pour l'immeuble en question. - 1978 : rien - 1979 : nouvelle demande de permis de construire, déposée entre le 1er et le 15 Décembre 1979, pour modification de façade, avec le même architecte que précédemment (mais qui a changé d’adresse entre temps) : 16 e arr. (n° 36304). — 25, rue Leconte-de-Lisle. — Pét., Société civile immobilière du 52, boulevard de la République, à Boulogne-Billancourt (92), M. Imbert, arch., 5, rue Malar (7 e ). — Modification de façade d’un bâtiment d’habitation de cinq étages. Modificatif au permis de construire n° 31867 délivré le 10 juillet 1975.
Non, non, pas un homonyme, José Imbert (1895-1986) c'est le bon ! Et je pense que le 27 rue Leconte-de-Lisle dans ses réalisations, indiquées dans cette page, est une erreur de numéro. C'est plus sûrement le 25. J'ai trouvé des indices qui vont dans ce sens et je travaille à les ordonner en suite logique, afin d'en faire une présentation aussi claire que possible.
Cher JPD, je ne sais si vous allez pouvoir retrouver les commentaires des échanges entre Danielle et moi au sujet de l'historique de la construction et des modifications de la façade de l'immeuble à la coquille, mais je vois ce soir avec stupéfaction qu'il y a au moins un ou deux commentaires de Danielle, notamment celui où elle parle du mariage de l'architecte José Imbert avec Louise Weiss, et deux ou trois des miens qui ont disparu :-((
C'est bien dommage car je suis sur le point de résoudre l'énigme de cette façade atypique.
Je viens de faire de la spéléologie dans les commentaires publiés, disparus mais pas jetés ! J'ai republié ceux que j'ai trouvés. J'espère que vous y trouverez votre bonheur ! Bonne soirée JP
Merci JPD d'avoir rétabli l'ordre des commentaires disparus. Encore un peu de temps (celui de rassembler tous les éléments) et le fin mot de cette énigme sera révélé ! Ici même ou, à votre convenance, dans un article à part. C'est vous qui choisirez. Si aucun impératif ne vient me retarder, je pense pouvoir vous envoyer tout ça par mél la semaine prochaine, ou peut-être avant la fin ce celle-ci. Je vais essayer d'accélérer, d'autant plus que (par ricochet) il en est question aujourd'hui dans l'énigme d'hier. Comble de l'ironie : pour son mariage avec Louise Weiss (d'origine juive) l'architecte José Imbert avait pour témoin Auguste Perret un antisémite notoire ! Mais peut-être qu'en 1934, Perret dissimulait encore ses sombres opinions..
Bonjour !
RépondreSupprimerCette coquille se trouve-t-elle bien à Paris ?
ou en banlieue ?
Vu que l'envoyé spécial de PBA est susceptible de se déplacer à l'étranger ;-)
si ce n'est, ni à Paris ni en banlieue, est-ce bien en France ?..
à tout hasard, en attendant la réponse à mon commentaire précédent,
RépondreSupprimerje propose le Musée national de la Marine, place du Trocadéro
Bonjour Tilia, nous sommes bien à Paris.
RépondreSupprimerLieu religieux ou civil ?
RépondreSupprimerSi vil
RépondreSupprimerSur un hospice ?
RépondreSupprimerSur le toit de l'Opéra ?
RépondreSupprimerInstitut Océanographique ?
RépondreSupprimer@ Anonyme : Ni hospice, ni Opéra, ni Institut océanographique !
RépondreSupprimerUne Fontaine ?
RépondreSupprimerOuvert au public ou privé ?
RépondreSupprimerEst-ce un bâtiment de l époque Louis XV ?
RépondreSupprimer@ Anonyme : Pas de fontaine !
RépondreSupprimer@ Nina: Privé.
@ Anonyme : Que nenni !
Hôtel particulier ? ornement vu de la rue ?
RépondreSupprimerCe dispositif est-il visible dans Street View ?
RépondreSupprimer@ Nina : Hôtel particulier, non, mais visible de la rue assurément.
RépondreSupprimer@ Tilia: Street view, oui !
RépondreSupprimerOn y travaille ou on y vit ?
RépondreSupprimerParis nord? Arrondissement pair? (répondez-vite car je dois m'absenter).
RépondreSupprimerOuh lala, il s'en ait passé des choses depuis trois semaines ! Il me faut récupérer le décalage horaire...et lire tous les articles... avant de chercher où se trouve cette coquille. Bonnes recherches à toutes et tous.
RépondreSupprimer@ Nina: Si je comprends bien votre question, si on n'y travaille pas, on est mort !
RépondreSupprimerBah disons simplement qu'on y vit, mais qu'avec les nouvelles habitudes de
télétravail, on peu très bien y travailler aussi !
@ Nina: Paris pas nord, arrondissement pair.
@ Anne: Welcome back !
S'agit-il d'un immeuble, ou bien de la maison d'un (riche) particulier ?
RépondreSupprimerCette coquille a-t-elle une fonction symbolique, ou bien est-elle purement décorative ?
Il s'agit d'un immeuble, mais je n'ai aucune idée de la fonction de cette coquille. Pour tout vous dire, j'espère que les cerveaux de PBA sauront tout nous dire !
RépondreSupprimerLa coquille est-elle seule sur la façade (au fronton, on dirait..) ?
RépondreSupprimerou bien y en a-t-il une autre placée en symétrie ?
C'est une coquille fille unique !
RépondreSupprimerC'est un immeuble récent, peut être même un logement social qui veut égayer sa façade avec une imitation de l'ancien ? 12eme ou 20 ème ?
RépondreSupprimerMarc S
Excellente piste de Marc, sauf pour les arrondissements !
RépondreSupprimerSommes-nous dans le XIVe arrondissement ?
RépondreSupprimer@ Anonyme : Non, non !
RépondreSupprimerl'immeuble en question est-il une HBM ?
RépondreSupprimer@ Anonyme : Non, il n'en a pas l'allure.
RépondreSupprimerCette coquille se situe donc sur un immeuble à Paris. Trouve-t-on ces coquilles dans le 7e arrondissement ?
RépondreSupprimerPar exemple dans une bouche d'égout du Champ-de-Mars, à l'image de la pâte à crêpes vendue aux touristes, comme dans tout pays du tiers-monde qui se respecte ? :-)
A l'est ou à l'ouest du Bd Raspail?
RépondreSupprimerÀ l'ouest
SupprimerNord ou Sud de la rue de Vaugirard?
RépondreSupprimerÀ l'ouest
SupprimerCe serait extraordinaire que ladite coquille soit placée de telle sorte qu à un jour donné le soleil levant ou couchant épouse à la perfection le cercle entourant ladite coquille mystère...
RépondreSupprimerDans une petite rue, ou sur une avenue ?
RépondreSupprimerPitite rue.
RépondreSupprimerPetite en longueur, ou petite en largeur ?..
RépondreSupprimerDans le prestigieux XVIe arrondissement ?
RépondreSupprimerEntre Vaugirard et Cherche midi?
RépondreSupprimerLa rue fait un peu plus de 200 mètres de long et 14 mètres de large.
RépondreSupprimerEt oui, nous sommes dans le XVI°.
@ Nina : On a dit le XVI°, faut suivre !
RépondreSupprimerLes précédentes questions de Nina laissaient entendre qu'elle parlait du 6e, puisque vous aviez répondu non à l'Anonyme qui proposait le 14e...
RépondreSupprimeret vous ne l'avez pas détrompée, ainsi que moi par la même occasion ! c'est purement machiavélique.
Je sais ce que représente la photo, mais (courte rue, ou rue étroite) je n'ai pas trouvé l'adresse puisque je cherchais dans le 6e :-(
De toute façon, je pense que la personne Anonyme de 12h32 a trouvé.
Donc, quand je dis non au 14°, on comprend le 6°... Ce n'est pas machiavélique, c'est des maths ! hihi !
RépondreSupprimerOui Tilia, il y a eu confusion entre les questions et les réponses.
RépondreSupprimerEh bien je viens d'arpenter quelques "petites rues " du XVIe , mais pour l'instant je suis bredouille...
RépondreSupprimerje vais donc faire une pause à la terrasse d'un café en attendant que quelqu'un trouve la bonne voie !!!
Oui, enfin, bon, quand Nina demande
RépondreSupprimer"Paris nord?"
et que vous lui répondez "Paris pas nord"
habituellement on comprend au sud de la Seine.
Ensuite Nina demande "A l'est ou à l'ouest du Bd Raspail?",
Puis "Nord ou Sud de la rue de Vaugirard?"
il est évident qu'elle ne parle pas du XVIe.
Du coup, là je n'ai plus le temps de chercher.
Je vais faire comme Anonyme, je reviendrai voir ce soir si quelqu'un à trouvé.
Bon GPS à tous et toutes !
RépondreSupprimerPoursuivons notre enquête : Est-ce une rue orientée nord-sud ou est ouest ?
RépondreSupprimer@ Anonyme: est ouest !
RépondreSupprimerRécapitulons donc: XVI, petite rue, ouest. Peut-être batiment religieux ou géré par l’église, non normalement ouvert au public. Est-ce peut-être la maison de retraite du côté de l’avenue Mirabeau?
RépondreSupprimerau fronton du 25 rue Leconte de Lisle :
RépondreSupprimerhttps://maps.app.goo.gl/3XXLs84LnwWV61AX6
imitation d'un cadran solaire, dans le genre de celui-ci :
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Suncanik_Senj_45_paralela_07.jpg
Marc S avait raison, c'est un immeuble récent (tout juste 45 ans) :
RépondreSupprimerhttps://www.meilleursagents.com/prix-immobilier/paris-75000/rue-leconte-de-lisle-3388/25/
j'ai rearpenté quelques artères après les informations d'orientation, mais je suis re bredouille ce soir..Je suis peut-être passée à côté sans voir, à force de chercher quelque chose, on finit en fait par le manquer.
RépondreSupprimerIl me faudrait une brigade de flâneurs comme Hercule Poirot et Columbo - pas Miss Marple, elle est trop âgée et se fatiguerait trop vite :) - pour sillonner la zone.
La voie porte-t-elle un nom d'artiste ?
Et voilà, je m'absente quelques instants et Tilia en profite pour trouver. Bravo Tilia !!!
RépondreSupprimerBravo à Tilla !
RépondreSupprimerEt merci pour cette promenade estivale dans le XVIe arrondissement.
Je suppose que le promoteur ou l'architecte était un fin lettré et que ce simili cadran solaire était un clin d oeil à Leconte de Lisle !
@ Anonyme (Marc S. ?..)
RépondreSupprimerMerci pour le bravo.
Je partage votre idée au sujet du constructeur de cet immeuble dont le fronton, les mascarons et l'entrée semblent dénoter un souci d'intégration, vu la proximité avec les immeubles d'Adolphe Thiers.
À ce sujet, lire aussi "17 à 23 rue Leconte de
Lisle" page 356 de ce document.
Concernant les mascarons, ils sont situés au 5e et dernier étage, juste au-dessus des fenêtres de gauche et de droite. Autant qu'il soit possible d'en juger sur la photo de la voiture Google, ils ressemblent à des têtes de bélier. Pour en être sûr, il faudrait les photographier séparément. Si Claude P à l'occasion de repasser à cet endroit, mon insatiable curiosité en serait grandement satisfaite.
En attendant, j'enquête pour essayer de trouver le nom du constructeur de cette immeuble atypique.
@Tilia
RépondreSupprimerje vous remercie pour les liens sur les documents.
La construction étant récente, je me suis demandée s'il n'y avait pas eu auparavant un autre bâtiment, une parcelle libre me paraissant assez improbable dans ce quartier. J'ai découvert qu'un Mr André Coulombel (décédé en 1957) agent de change de son état (sa petite famille et ses domestiques) demeurait au 25 rue Leconte de Lisle en 1926.
PS : je ne suis pas Marc S mais Danielle P (la même anonyme que celle du 10 octobre 12 h 32 qui n'avait pas trouvé en fait!) il faudra à l'avenir que je m'identifie car j'adore les énigmes de Monsieur Paris Bise Art et je martyrise mon clavier pour répondre !
Bienvenue Danielle P (plus on est de fous...) !
RépondreSupprimerDonc l'Adolphe Thiers de Tilia n'est donc pas l'Adolphe Thiers aux trois moitiés , mais ils sont parents
RépondreSupprimer@ Danielle
RépondreSupprimerRavie de vous compter parmi l’équipe des mordu(e)s de Paris-Bise-Art !
Bravo pour votre découverte, je vois que vous maîtrisez l'art de farfouiller dans les anciens annuaires et les archives d'état-civil ;-)
De mon côté j'ai trouvé ici les coordonnées postales de quelques résidents de cet immeuble. Cependant je doute que l'un d'eux soit assez âgé pour avoir été l'un des premiers propriétaires.
Le Sndic aurait peut-être dans ses archives des renseignements sur l'architecte. Il faudrait que je le contacte pour tenter de satisfaire la curiosité que j'éprouve à l'encontre de l'étrange décoration de cette façade vraiment étonnante.
Détail découvert hier : les deux boules surmontant les balustrades, de part et d'autre de l'entrée de l'immeuble, sont en fait des globes terrestres ! Cliquer ici pour les voir de près.
Je me demande s'il existe un ou plusieurs autres immeubles parisiens du même genre, construits dans les années 70-80 par l'architecte de cet immeuble...
@ Danielle S : Bravo pour ces recherches et merci de les partager. Notre équipe se muscle et nous allons être imbattables !
RépondreSupprimerIl a construit en face de chez moi !! (mais point de coquille). Merci Danielle S.
RépondreSupprimer@ Danielle S
RépondreSupprimerChapeau pour cette excellente trouvaille !
Les informations concernant JP Hurion étant antérieures à l'année de construction de l'immeuble en question, j'ai recherché ce qu'il a réalisé dans les années 1970 mais je n'ai rien trouvé de différend par rapport à la décennie précédente.
J'en déduis que l'immeuble à la coquille est une exception dans sa carrière (sans doute une commande spéciale) et que les différents éléments du décor de la façade ont été réalisés conformément à la demande du client...
Du coup je suis retournée sur Gallica. Encore merci pour le lien vers le Bulletin Municipal Officiel de la Ville de Paris.
En avançant un peu dans le temps, il s'avère qu'en 1977 la façade a été modifiée :
"16 e arr. — 25, rue Leconte-de-Lisle. — Pét., Société civile
immobilière du 25, rue Leconte-de-Lisle, M. Imbert, 14, cité
Lemercier (17 e ), le même, arch. — Transformation de façade et déplacement d’un escalier intérieur."
dans cette page :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k32103983/f6.image.r=Leconte%20de%20Lisle
Comme il se fait tard, j’approfondirai ce la demain
Tilia
@Tilia
RépondreSupprimermerci pour le document sur la suite des travaux.
Il faudrait pouvoir consulter le permis de construire et de modification de façade ou mieux encore les descriptifs des travaux pour avoir enfin la clé du mystère !
Je me demandais si le simili cadran solaire, les globes, les têtes de bélier et les deux vases ou jardinières que l'on aperçoit de chaque côté de la coquille ne seraient pas des vestiges de la propriété précédente que notre architecte aurait décidé de conserver...
Je rêve depuis longtemps de la machine à remonter le temps :)
Danielle
@ Danielle S
RépondreSupprimerSuite de mes recherches dans le Bulletin Municipal Officiel de la Ville de Paris pour l'immeuble en question.
- 1978 : rien
- 1979 : nouvelle demande de permis de construire, déposée entre le 1er et le 15 Décembre 1979, pour modification de façade, avec le même architecte que précédemment (mais qui a changé d’adresse entre temps) :
16 e arr. (n° 36304). — 25, rue Leconte-de-Lisle. — Pét., Société civile immobilière du 52, boulevard de la République, à Boulogne-Billancourt (92), M. Imbert, arch., 5, rue Malar (7 e ). — Modification de façade d’un bâtiment d’habitation de cinq étages. Modificatif au permis de construire n° 31867 délivré le 10 juillet 1975.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3211102t/f13.item.r=Leconte%20de%20Lisle
Il reste maintenant à rechercher l'architecte M. Imbert, 5 rue Malar (7e) - précédemment au 14, cité Lemercier (17e)...
J'ai préparé un topo chronologique pour y voir plus clair, mais là il est l'heure de dormir, je verrai ça plus tard ;-)
@Tilia
RépondreSupprimerj'ai trouvé un architecte nommé Imbert
https://www.pss-archi.eu/architecte/542
mais c'est peut-être un homonyme !
En tout cas, ce Monsieur Imbert-là fut brièvement l'époux de Louise Weiss ! Ah on se cultive grâce à Paris Bise Art !
Danielle
@ Danielle
RépondreSupprimerNon, non, pas un homonyme, José Imbert (1895-1986) c'est le bon !
Et je pense que le 27 rue Leconte-de-Lisle dans ses réalisations, indiquées dans cette page, est une erreur de numéro. C'est plus sûrement le 25.
J'ai trouvé des indices qui vont dans ce sens et je travaille à les ordonner en suite logique, afin d'en faire une présentation aussi claire que possible.
En attendant grand merci, Danielle, pour le mariage avec Louise Weiss.
Voir ici leur photo de mariage !
Ce site indique 4 ans de mariage, et non 2 comme mentionné dans l'article de Wikipédia.
Confirmation du divorce en 1938.
Cher JPD,
RépondreSupprimerje ne sais si vous allez pouvoir retrouver les commentaires des échanges entre Danielle et moi au sujet de l'historique de la construction et des modifications de la façade de l'immeuble à la coquille, mais je vois ce soir avec stupéfaction qu'il y a au moins un ou deux commentaires de Danielle, notamment celui où elle parle du mariage de l'architecte José Imbert avec Louise Weiss, et deux ou trois des miens qui ont disparu :-((
C'est bien dommage car je suis sur le point de résoudre l'énigme de cette façade atypique.
Miracle !
RépondreSupprimertous nos commentaires sont revenus à leurs emplacements :-)
Grand merci JPD.
Je viens de faire de la spéléologie dans les commentaires publiés, disparus mais pas jetés !
RépondreSupprimerJ'ai republié ceux que j'ai trouvés.
J'espère que vous y trouverez votre bonheur !
Bonne soirée
JP
Merci JPD d'avoir rétabli l'ordre des commentaires disparus.
RépondreSupprimerEncore un peu de temps (celui de rassembler tous les éléments) et le fin mot de cette énigme sera révélé !
Ici même ou, à votre convenance, dans un article à part. C'est vous qui choisirez.
Si aucun impératif ne vient me retarder, je pense pouvoir vous envoyer tout ça par mél la semaine prochaine, ou peut-être avant la fin ce celle-ci.
Je vais essayer d'accélérer, d'autant plus que (par ricochet) il en est question aujourd'hui dans l'énigme d'hier. Comble de l'ironie : pour son mariage avec Louise Weiss (d'origine juive) l'architecte José Imbert avait pour témoin Auguste Perret un antisémite notoire ! Mais peut-être qu'en 1934, Perret dissimulait encore ses sombres opinions..