C'est sur la rive nord de l'île Saint-Louis que Claude P, notre envoyé spécial, vient prendre son apéritif, car il croit que le Bourbon évoqué sur cette plaque se boit sans eau mais avec de la glace !
Arrêtons-nous au numéro 21.
C'est ici qu'un dénommé Charles Nègre avait élu domicile en 1850.
Ici une photographie prise par Charles Nègre; on y voit des ramoneurs marchant sur le quai Bourbon:
Dans la cour, la trace d'un ancien puits:
Les remises à voitures sont intactes.
Un second puits:
Merci à Claude pour cette visite !
21 quai de Bourbon, Paris IV°.
Le tenancier du blog s' est pris pour Maitre Gims
RépondreSupprimerJe rappelle que Charles Nègre a laissé son nom au musée de la photographie à Nice.
RépondreSupprimerIl a largement illustré la région à la fin du XIXe siècle avec un esprit documentaire, montrant les évolutions du comté de Nice après le rattachement à la France en 1860.
https://museephotographie.nice.fr/
s'il y a des gens qui pronent le rattachement de la Loire Atlantique à la Bretagne ,le grand barde est pour le rétablissement du département du Var dans ses limites d'avant 1860 et qu'on limite les Alpes maritimes au comté de Nice
RépondreSupprimerà la rigueur on pourrait rétablir le premier département des Alpes Marimes issu de la révolution française , mais le prince et nos voisins transalpins ne seront peut être pas d'accord
On peut aussi rendre le comté de Nice à l'Italie : Garibaldi sera heureux ! :-)
RépondreSupprimerOn rendrait aussi Denise Fabre , Éric Ciotti et Estrosi
RépondreSupprimerOh non, quelle perte inestimable ! :-s
RépondreSupprimerTiens, grand barde, on me dit que ces pédants rentrent de Nice...
RépondreSupprimerBon, je disparais prestement ! =>[]