Non, je ne parle pas de moi ! Je cultive certes ma curiosité au Louvre, au point d'avoir visité plusieurs fois les 414 (?) salles du musée.
Non, j'évoque d'autres souris !
Je ne parle pas non plus des "souris du Louvre", cette sympathique BD de Joris Chamblain et Sandrine Goalec, que vous trouverez dans toute bonne bibliothèque !
Hier soir, je suis passée rue de Rivoli, devant l'aile Richelieu du Louvre.
J'admirais ces circulations douces, si inspirantes, et tellement écologiques et vertes qu'elles en ignorent les feux rouges.
Qu'ai-je vu alors ? Une souris est sortie prestement d'un petit trou dans le mur du Louvre et s'est engouffrée dans la bouche de métro Palais-Royal, située à moins de 10 mètres !
Elle était suivie d'un gros surmulot gris bien dodu, puis d'un petit rat noir...
Le personnel du musée rentrant chez lui en métro, certainement !
Savez-vous qu'il y a des souris au Louvre ?
RépondreSupprimerNon, je ne parle pas de moi ! Je cultive certes ma curiosité au Louvre, au point d'avoir visité plusieurs fois les 414 (?) salles du musée.
Non, j'évoque d'autres souris !
Je ne parle pas non plus des "souris du Louvre", cette sympathique BD de Joris Chamblain et Sandrine Goalec, que vous trouverez dans toute bonne bibliothèque !
Hier soir, je suis passée rue de Rivoli, devant l'aile Richelieu du Louvre.
J'admirais ces circulations douces, si inspirantes, et tellement écologiques et vertes qu'elles en ignorent les feux rouges.
Qu'ai-je vu alors ? Une souris est sortie prestement d'un petit trou dans le mur du Louvre et s'est engouffrée dans la bouche de métro Palais-Royal, située à moins de 10 mètres !
Elle était suivie d'un gros surmulot gris bien dodu, puis d'un petit rat noir...
Le personnel du musée rentrant chez lui en métro, certainement !
Mais comment fait-on pour aller rue de Rivoli à présent ? C'est en zone interdite !
RépondreSupprimerBen à vélo pardi !
RépondreSupprimerJe fais pour ma part partie de ces rares aventurières, qui tentent encore de parcourir ces lieux à pattes...
Mais telle l'exploration d'une contrée sauvage, il faut être sur ses gardes. On peut prestement finir occis, aplati par un vélo fou !