C'était ce matin, dimanche, place de la Concorde...
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À l'heure où nous mettons sous presse, aucune explication n'est avancée pour expliquer ce phénomène.
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Mon hypothèse: une poignée d'abrutis qui a versé du colorant dans les fontaines.
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Un souhait: que le produit utilisé n'endommage pas les fontaines qui n'ont pas besoin de ça !
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Merci à Claude P qui est toujours sur la brèche !
Vraisemblablement de la fluorescéine,
RépondreSupprimerheureusement inoffensive et même
utilisée médicalement
(idée perso mais jamais mise en pratique !)
Des Parisiens facétieux nous offrent des fontaines aux couleurs de Paris-Bise-Art, et nôtre hôte trouve encore le moyen de râler !
RépondreSupprimerVous comprendrez facilement que cet épisode me fait penser à l'incendie de l' usine Pernod de Pontarlier au 19e siècle , incendie qui permit de découvrir la résurgence de la Loue après qu ' on ait vidé les cuves d'absinthe dans le Doubs
RépondreSupprimerSi l'on m'avait dit que j'assisterais un jour à une discussion sur le pastis entre Tilia et le Grand barde, je ne l'aurais pas cru !
RépondreSupprimerAttention à ne pas confondre le pastis (composé traditionnellement d'extraits d'anis vert, d'anis étoilé et de fenouil) avec l’absinthe dont la base immuable repose essentiellement sur la grande absinthe et la petite absinthe accompagnées d'anis vert et de fenouil, et selon les recettes, additionnées d'angélique ou de mélisse, voire de toute autre plante aromatique.
RépondreSupprimerLe Grand Barde a parlé de l'usine Pernod qui à l'époque de l'incendie était encore loin de la fabrication du pastis et c'est bien la couleur verte de l'absinthe qui a permis l'identification de la Loue.
la fluoresceine a également permis dans les années 30 à Norbert Casteret de montrer que la source de la garonne se situait au trou du toro dans le val d'Aran.
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