La prochaine fois que vous vous promènerez avenue d'Iéna, jetez un oeil au numéro onze; c'est ouvert en semaine.
Nous sommes dans un des ces immeubles de rapport du XIX° siècle, à la limite de l'hôtel particulier.
L'entrée cochère permet de ne pas mouiller ses escarpins en descendant du fiacre.
Un escalier tout simple qui conduit aux bureaux de la société ZV France, dont la marque "Zadig et Voltaire" est bien connue de tous...
La cour intérieure où l'on croit encore entendre les sabots des chevaux
Et voilà les écuries !
Ce crochet servait à suspendre les licols et les rênes:
J'ai eu beau regarder, je n'ai pas trouvé de chevaux !
On s'en va !
Avant de partir, je ne résiste pas au plaisir de vous montrer cette courte vidéo où un homme politique - Frédéric Lefebvre - se souvenant sans doute qu'il a participé à la relance de Pif gadget, nous parle de culture...
11 avenue d'Iéna, Paris VIII°.
Ayant habité juste en face de la Mairie du Xe de 1985 à 1990, je me souviens que le pavillon de droite du conservatoire (photo 1) a été démoli et reconstruit à l'identique, en béton armé. J'aimais bien ce quartier, un peu bizarre. En cherchant un peu, on y retrouvait encore les vestiges des anciens cinémas et cabarets dont Léo Malet parle dans M'as-tu vu en cadavre ?
RépondreSupprimerPatatras ! Il y a une erreur, c'était mon commentaire sur l'article suivant (Hôtel Gouthière)!
RépondreSupprimerEt je n'ai pas la possibilité de corriger !
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