@ Fulgence: Ce n'est pas à Saint-Denis mais ce sont des morceaux de bois indubitablement... Mais à quoi servaient ces morceaux de bois, là est la question !
Hé oui ! Les sinistres poteaux d'exécution de la petite chapelle du mont valérien, dont le bois est encore imprégné des écorchures liées au feu nourri tiré sur ces pauvres malheureux… Mais pour ceux que cela intéresserait, je vous renvoie au chapitre : "Des Hommes indestructibles" publié dans mon "Paris en histoires, 19e-20e siècle", en page 240. Jean-paul s'il le souhaite, le publiera sur le blog. Amitiés à tous. Philippe Krief.
Vendredi 20 novembre à 13h16, Nina donnait la bonne réponse, mais afin de ne pas tuer le jeu, je l'avais retenue. Elle a ainsi grillé la politesse à super-Matthieu qui va lui en vouloir. Je publierai la semaine prochaine un article sur ces émouvants vestiges. Bravo Nina, bravo Matthieu, et merci à tous !
Prototype d'un nouveau mobilier urbain parisien ?
RépondreSupprimerDes bûchettes pour apprendre à compter ;-) ? A Cluny?
RépondreSupprimerKoba L.
Ces pièces sont-elles exposées dans un musée à Paris ?
RépondreSupprimerJe propose: des pieux de fondation...
RépondreSupprimer@ Belairsud: Bien que ça ressemble au "style" hidalguien, ce n'est pas ça !
RépondreSupprimer@ Koba: Non et non !
@ Anne: Non et non !
@ Anne: C'est pas ça !
Lieu: Musée d'archéologie Saint Germain en Laye ?
RépondreSupprimerDes vestiges de radeaux ?
RépondreSupprimer@ Anne: Non plus !
RépondreSupprimer@ Nina: Point du tout !
RépondreSupprimerMusée Carnavalet: des restes de barricades (révolutions de 1830 ? 1848 ? 1870 ?)
RépondreSupprimerPeut être le musée d'histoire à Saint Denis ? Pour l'objet je dirais que ce sont des morceaux de bois
RépondreSupprimerCes objets sont-ils visibles à Paris ?
RépondreSupprimer@ Antoine: Bien tenté mais ce n'est pas ça !
RépondreSupprimer@ Fulgence: Ce n'est pas à Saint-Denis mais ce sont des morceaux de bois indubitablement... Mais à quoi servaient ces morceaux de bois, là est la question !
@ Anne: Pas loin !
Ce sont les sinistres poteaux d'éxecution exposés dans la chapelle des fusillés du Mont Valérien.
RépondreSupprimer@ Matthieu: Mais qui êtes-vous, monsieur ? Quel numéro demandez-vous ?
RépondreSupprimerLa lampe de Super Matthieu est classée 6500 K (Lord Kelvin) !!!
RépondreSupprimerHé oui ! Les sinistres poteaux d'exécution de la petite chapelle du mont valérien, dont le bois est encore imprégné des écorchures liées au feu nourri tiré sur ces pauvres malheureux…
RépondreSupprimerMais pour ceux que cela intéresserait, je vous renvoie au chapitre : "Des Hommes indestructibles" publié dans mon "Paris en histoires, 19e-20e siècle", en page 240. Jean-paul s'il le souhaite, le publiera sur le blog.
Amitiés à tous. Philippe Krief.
Vendredi 20 novembre à 13h16, Nina donnait la bonne réponse, mais afin de ne pas tuer le jeu, je l'avais retenue.
RépondreSupprimerElle a ainsi grillé la politesse à super-Matthieu qui va lui en vouloir.
Je publierai la semaine prochaine un article sur ces émouvants vestiges.
Bravo Nina, bravo Matthieu, et merci à tous !
J'étais passée par un émail (quelle drôle d'idée) !
RépondreSupprimerSi vous aviez été plusieurs vous seriez passés par des émaux !
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