C'est à l'occasion des Journées européennes du patrimoine que des compagnons-charpentiers avaient organisé une démonstration de leurs talents en construisant des fermes selon les méthodes traditionnelles.
Notre envoyé spécial Claude P. se devait d'être présent; voici ses photographies:
Merci à Claude P. !
Parvis de Notre-Dame, Paris IV°.
Quand je pense que l échafaudage est toujours la. Les italiens dont on se moque volontiers on reconstruit le pont de gènes en un temps record et en plein covid
RépondreSupprimerPour le pont de Genes on a tout cassé et on a tout reconstruit. On ne peut pas comparer un pont et une cathédrale !
RépondreSupprimerIl y avait longtemps que je n'avais vu un bouquet de fleurs ou branchages au sommet d'une charpente ou au faitage d'une toiture. Dans mon enfance, dans l'Essonne, de nombreuses maisons
RépondreSupprimerétaient construites -milieu des années 50- et c'était un rituel très courant avec chants et applaudissements; cérémonie joyeuse et pleine de symboles.
@ Anne: On voyait aussi parfois un drapeau français lorsque le sommet était atteint.
RépondreSupprimer@ Marc
RépondreSupprimerToutes les pièces de l’échafaudage ont été soudées entre elles par la chaleur infernale de l'incendie. Il n'est donc pas possible de le démonter, ni même d'y accéder, normalement.
Les ouvriers sont des cordistes, suspendus dans le vide et obligés de travailler à la scie.
Plus d'infos dans l'article du Monde.
À mon avis, refaire une charpente à l'identique serait prendre le risque de faire subir (à plus ou moins longue échéance) à la cathédrale un nouvel incendie qui, cette fois, pourrait lui être fatal...
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