Attention, double effet qui se coule !
Je vous demande:
- 1 Où se trouve ce machin (je connais la réponse)
- 2 Ce que c'est, pourquoi c'est là, qu'est-ce que ça veut dire, etc... (et ça, je ne sais pas !)
Je veux donc des réponses argumentées, avec des preuves incontestables, toussa, toussa !
Bonne chance à tous !
Attendez-vous à être bombardé de questions (sauf si quelqu'un est plus malin). A pluss !
RépondreSupprimerCe sont plutôt des réponses que j'attends, voyez-vous...
RépondreSupprimerHé, on n'est pas du même côté de la barrière !! Je pose la question que je veux: Paris ? Paris Nord ?
RépondreSupprimer@ Nina: Voui !
RépondreSupprimerUne boutique de coiffeur ou une parfumerie ? (c'est une réponse).
RépondreSupprimerUn réponse qui se termine par un point d'interrogation, ça s'appelle une question !
RépondreSupprimerEn conséquence, je réponds non ! Na !
Un Passage (par curiosité) (...?)
RépondreSupprimerun bas relief provenant du cinéma Louxor?
RépondreSupprimera priori ce n'est pas dans un vieux fonds musée d'un lycée ou d'une école car on serait à quoi cela servait, idem dans un atelier d'artiste ou dans un musée, idem dans une cours artisanale ou industrielle car il y aurait une explication en rapport avec le lieu. Idem pour un cimetière (le lien serait évident)
RépondreSupprimerje pense que c'est dans (sur) un immeuble d'habitation
@ Nina: Ce n'est pas dans un passage.
RépondreSupprimer@ Marc: Ça ne provient pas du Louxor.
@ Marc: Excellent raisonnement !
Sur un mur ou séparation entre deux vitrines ? (ceci n'est pas une question).
RépondreSupprimer@ Nina: Voui !
RépondreSupprimer(ceci n'est pas une réponse).
le Grand Barde se repose aujourd'hui , exténué de son triomphe d'hier
RépondreSupprimer"Heula"-expression normande- bien que bretonne -chez nous à l'Ouest l'exclamation serait
RépondreSupprimer"Ma Doué"- vous courrez "le marathon du confinement"...Mais moi, une vulnérable, je m'épuise à tenter de vous suivre: peuff, peuff ! Et ici en Languedoc ils diraient: "mais vous n'avez pas de maison ?" Tant vous êtes rivés à vos écrans.Bon, je vais me reposer et attendre vos réponses. Bravo à vous tous qui cherchez.
La gravure sur mur est "protégée" par une vitre.
RépondreSupprimerCe "bas-relief" est-il visible dans Street View ?
RépondreSupprimerSi ce n'est pas le cas, je n'ai aucune chance de le localiser :-(
@ Tilia: Oui, il est clairement visible sur Gogole steurite viou, mais comme ce n'est pas l'adresse qui est le plus important, je vais vous aider à la trouver:
RépondreSupprimerCet homme dont la tombe se trouve dans la chapelle d'un ancien hôpital récemment visité, possède à Paris son lycée (où j'ai brillé) et une rue (où se trouve notre énigme), mais pas au même endroit.
Il avait un talent fou pour se faire des ennemis (la reine, Necker, etc...).
Merci pour l'indice.
RépondreSupprimerJ'ai trouvé le nom de la rue, mais pour l'instant je n'ai pas réussi à localiser cette sorte de sirène égyptienne :-/
Il y a bien une école de garçons dans cette rue ?...
Si vous êtes à l'école (!), ne changez pas de trottoir et descendez la rue !
RépondreSupprimerAh si, ça y est je l'ai vue !
RépondreSupprimerBravo, alors maintenant, il faut m'expliquer ce que ça fait là, d'où ça vient, etc, etc...
RépondreSupprimerIl n'y a jamais personne dans l'espèce de boutique adjacente.
Et j'ai trouvé un article décrivant cette œuvre en détail, mais qui ne donne pas d'explication autre que l'hypothèse d'une maison close, ou une boutique de soins de beauté, et qui s'interroge sur la raison de cette "égyptienne" à cet endroit...
RépondreSupprimerDire que je n'avais jamais vu ça dans cette rue où je suis si souvent passé! C'est aussi un charme de Paris Bise Art, de nous faire découvrir ce qu'on avait sous les yeux. Reste à savoir ce que ça fait à cet endroit, et pourcela il suffit de consulter des annuaires, et pour cela il suffit d'attendre quelques semaines...
RépondreSupprimerDire que je n'avais jamais vu ça dans cette rue où je suis si souvent passé! C'est aussi un charme de Paris Bise Art, de nous faire découvrir ce qu'on avait sous les yeux. Reste à savoir ce que ça fait à cet endroit, et pourcela il suffit de consulter des annuaires, et pour cela il suffit d'attendre quelques semaines...
RépondreSupprimerIl suffit d'être patient, regardez le truc en fonte du métro Dupleix, il n'a guère fallu que huit ans pour avoir la réponse !
RépondreSupprimerdonc 9 rue Turgot. Je n'ai rien trouvé dans ma documentation.
RépondreSupprimerLe blog du cinéma Louxor aurait indiqué si le bas relief venait de la salle donc non. Ce n'est pas assez discret pour une maison-close, à moins que le bas relief ait été à l'intérieur mais je n'ai rien lu sur un éventuel lupanar à ce numéro (à la différence de la rue St Georges). Reste à interroger les habitants (un ancien antiquaire y a peut être tenu boutique)
Le bandeau qui se trouve au dessus de ce relief, sur toute la largeur de la façade, cache peut-être l'enseigne d'un ancien commerce, ou d'une activité artisanale aujourd'hui disparue...
RépondreSupprimerPar ailleurs, comme le précise l'article mis en lien dans mon précédent commentaire, la fantaisie de l'artiste sculpteur ne fait aucun doute : si les déesses des illustrations du Panthéon égyptien montre souvent un sein dépassant de leur robe moulante, aucune ne montre les deux.
Longtemps cachée, cette décoration est réapparue en 2016. Seul commerce intéressant, un certain Lapeyre (Lapayre dans certains Didots fautifs) qui faisait dans l'agrandissement photographique, puis dans l'encadrement à prix cassés jusqu'en 1936. La suite après le confinement...
RépondreSupprimerTilia = Grande égyptologue de Paris-Bise-Art !
RépondreSupprimerUn habitant des lieux 'le goût des autres blog' me dit que le coin s'appelait "Quartier Delta" en souvenir des campagnes d'Egypte.Ce coin regorge de décorations de lieux de distractions dans le style"vaguement oriental" (comme le Mikado, rue Lallier), plus loin, le Luxor.
RépondreSupprimerTilia: Remarquable !
RépondreSupprimerCher JPD votre mise en boîte est quelque peu prématurée, je ne suis pas encore réduite à l'état de momie ;-)
RépondreSupprimerUne ch'tite momie ! Quelle bonne idée, et en plus, c'est l'heure; à votre santé !
RépondreSupprimerQui réussira à lire les trois mots -inscription très défraîchie- sur le lambris au-dessus des porte et vitrines de cette boutique fermée?
RépondreSupprimerAntiquaire ou brocanteur ? Très visible un cadre avec une gravure de mode de femme en costume 19è siècle.
Dans l'Annuaire du commerce Didot-Bottin de 1925, rubrique "Coiffeur de dames" j'ai trouvé un certain Vidal, 9 rue Turgot.
RépondreSupprimerPour moi ce sera une tite mauresque, tchin !
Tilia, cette beauté semble s'occuper de sa chevelure.
RépondreSupprimerAu 19è siècle, Dans le coin du Louxor, les" promenades egyptiennes' laissèrent la place au "Jardin du Delta"en souvenir des campagnes d'Egypte.
RépondreSupprimer@ Anne
RépondreSupprimerBien vu !
et je lis quelque chose comme "Clinique du Cheveu" tout en majuscules...
Tilia, "t'as de bons yeux tu sais"
RépondreSupprimerJe me souviens avoir proposé à 11h 22 une boutique de coiffeur (intuition féminine ?) que vous avez récusé cher JPD; Je dis ça, je n'ai rien dit.
RépondreSupprimerOui mais il y avait une faute d'orthographe !
RépondreSupprimerQUOI ???
RépondreSupprimerEn tout cas, pas à 11 h 22 :)
RépondreSupprimerBah oui, il y avait un point d'interrogation !
RépondreSupprimerNyark, nyark, nyark !
Vous êtes odieux.
RépondreSupprimerÔ Dieu, l'étrange peine ! comme disait Rodrigue !
RépondreSupprimer@ TILIA: Je lis, aussi, "QUE"en fin du premier mot et "DE ou DU " pour celui du milieu.
RépondreSupprimerJ'ai tenté de "balayer" vers la droite et parla gauche cette façade car avec une lumière rasante il est, parfois, possible de déchiffrer une inscription mais là c'est difficile pas de changement de lumière et ne n'avons pas la maîtrise de la manœuvre.
Bravo les filles! Avons-nous mis dans le Nil ? La parole aux garçons.
RépondreSupprimerDans le domaine dont nous parlons , les conséquences seront terribles
RépondreSupprimeren effet au bout de six semaines de confinement les blondes auront disparues et tellement de gars auront essayé de se couper les cheveux que l'usage des selfies va dramatiquement chuter
@ Tilia: il me semble que le dernier mot est trop long pour être "cheveux". Le premier, peut-être, BOUTIQUE...Mais les trois dernières lettres du premier mot peuvent être aussi TRE.
RépondreSupprimerET et pas DE ou DU pour le mot du milieu... Dernière lettre dernier mot, je propose un K...
@ Nina: merci pour nous toutes. Néanmoins (égyptien off course) nous ramons !
@ Grand Barde: vous avez tellement raison, pour ma part j'assume mes premiers cheveux blancs depuis mes 17 ans alors...Tout va bien.
@JPD un petit indice SVP Monsieur...
Si les deux mots sont des patronymes nous sommes en équilibre au-dessus des chutes du Nil Bleu.
@ tous: Que votre vendredi soit beau.
Mais JPD a dit qu'il ne savait rien !! (tu parles d'un chef).
RépondreSupprimerJe confirme, j'ignore tout de ce machin et, comme pour le bidule en fonte du métro Dupleix, je me dis que dans ce bouillonnement d'intelligences que constitue le lectorat de Paris-Bise-Art, la lumière surgirait...
RépondreSupprimerComment ça "surgirait". Tous les pontes du web disent:" on ne sait pas , gna,gna,gna,". On vous amène de la bonne,de la fraîche et Môssieu fait le difficile !!!
RépondreSupprimerIl fait le beau le tenancier du blog , mais le pavillon de Bavière , ça en est où ?, la France veut savoir ?
RépondreSupprimerMais il connaît pas JPD, ce mec ! il va avoir un réveil pénible. J'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter que le sang coule. Mais maintenant c'est fini, je vais le travailler en férocité, le faire marcher à coup de lattes ! À ma pogne, je veux le voir ! Et je vous promets qu'il demandera pardon, et au garde-à-vous !
RépondreSupprimer(je pars faire les courses)
RépondreSupprimerBonjour, j'ai triché, j'ai appelé l'agent immobilier qui vendait de 2014 à 2015.
RépondreSupprimerIl a vendu à un antiquaire... mais n'avait jamais vu la Nénéfertiti !
Le champ des possibles se réduit donc:
soit le nouveau propriétaire a découvert le bas-relief Second Empire en démolissant la vitrine, soit il a plaqué le dit bas-relief, jugé digne du quartier, et qu'il entretient en supprimant les tags !
Absente aujourd'hui, je découvre les nouveaux échanges de points de vue.
RépondreSupprimerAnne n'a pas tort en suggérant un "K" à la fin du dernier mot de l'enseigne, mais cette lettre, qui rapporte 10 points au Scrabble, est plus difficile à placer que le "X" qui en vaut tout autant ;-)
D'emblée, c'est bien un "X" que j'ai vu en scrutant cette enseigne réduite à des pointillés. Mais je l'ai écarté en raison de l'orthographe, puisque j'avais dans l'idée que le premier mot était "Clinique" et les suivants "du Cheveu".
Or, si l'on en croit l'information du site "Clinique du Cheveu", c'est en 1974 seulement qu'eurent lieu la création et l'ouverture de la 1ère Clinique du Cheveu.
Une année bien trop récente par rapport à l'Égyptienne ornant le Salon de coiffure tenu par M. Vidal en 1925, comme indiqué dans le Bottin Didot (voir le lien vers cet annuaire dans mon commentaire du 26 mars 2020 à 19:40).
L'Égyptienne se coiffant rue Turgot date sans doute des années 1920, époque où les découvertes du tombeau de Toutânkhamon et de son trésor ont engendré la 3e vague d'égyptomanie à Paris.
Pour en revenir à l'enseigne, selon moi il y a de grandes chances pour que la boutique de coiffure pour dames ait perduré un certain temps, on va dire jusqu'à la 2e guerre mondiale.
Et qu'ensuite la belle égyptienne ait été mise à l'abri derrière la vitre opaque (qui la protégeait encore en Mai 2015) parce qu'elle n'avait plus aucun rapport avec les activités qui s'établirent là par la suite.
Mais tout ceci n'est que suppositions.
J'ai trouvé ceci : http://neufhistoire.fr/articles.php?lng&pg=1819&tconfig=0&lng=fr
RépondreSupprimerRapport à la date d'apparition de la 1ère "Clinique du Cheveu" je viens de retrouver la page de blog avec photo, qui mentionne celle qui se trouvait rue Saint-Agricol dans ma ville natale.
RépondreSupprimerIl y a fort à parier que, vu le style d'écriture, cette enseigne avignonnaise ne date pas d'après 1974 comme le prétend le site que j'ai cité plus haut dans les commentaires. Je dirais plutôt qu'elle a été peinte entre 1920 et 1940...
Ceci dit juste au cas où "Clinique du Cheveu" serait confirmé pour l'enseigne en pointillé de la rue Turgot, mais je n'y crois plus guère.
Les commentaires valent leur pesant d'or...
RépondreSupprimerJe suis peut-être pesant mais je ne dors pas !
RépondreSupprimerEn jouant sur le contraste depuis mon téléphone mobile, il me semble déchiffrer "Coiffure et création". Il paraît de plus en plus vraisemblable que ce décor agrémentât la devanture d'un capilliculteur.
RépondreSupprimerEt si c'est le coiffeur lui-même qui a commis cette oeuvre, on peut dire que c'était un capillisculpteur !
RépondreSupprimerPour une fois que je sais (un peu)!
RépondreSupprimerIl s'agit d'un décor mis au jour en 2016 lors de travaux sur la façade d'une boutique, 9 RUE TURGOT 75009 Paris.
Vous trouverez un commentaire détaillé sur neufhistoire.fr : http://neufhistoire.fr/articles.php?lng&pg=1819&tconfig=0&lng=fr