Il s'agit clairement d'une patère. Je pencherais donc pour un monument en hommage à Isaac Newton et sa célèbre loi sur la chute des corps : "quand on lâche un truc, il tombe patère ".
Je pense à une bouche d'évacuation, très arty,-type chauffage au gaz- en raison de son positionnement en hauteur, voir alignement par rapport à la lanterne. "Ce tentacule" tient autant de l'oiseau que du poisson... Vos échanges me font bien rire et en cette période c'est bon à prendre !
Pan sur le bec ! Oré est le nom de l'artiste du dessus :). Quant au 'poisson' qui a une indigestion, je ne trouve pas. Je suppose que le galeriste (très important) voulait attirer l'attention sur son nouveau showroom (...lieu d'exposition).
Chose très surprenante, dans Street View le bidule en forme de patère n’apparait sur aucune des neuf photos de cet endroit précis prises en avril 2008 la première, et la dernière en mai 2019.
Conclusion logique, pour moi il s'agit ni plus ni moins d'une œuvre de street art, collée là comme des deux trucs colorés en bleu et jaune de part et d'autre du bidule.
Et merci à vous JPD, pour l'énigme à résoudre. C'est l'idéal pour nous changer les idées. J'espère que vous en avez un bon stock, pour nous permettre de tenir pendant plusieurs semaines ;-)
Comme je l'avais dit, j'ignore la réponse à la question "qu'est-ce que c'est". C'est juste mon oeil de faucon qui a accroché ça en passant et ça m'a semblé curieux. Il est vraisemblable que ce soit une "oeuvre d'art" spontanée, mais je suis beaucoup trop incompétent pour analyser ou apprécier !
JPD, je refuse de voir en vous un "incompétent" ! on apprend à tout âge :-) Depuis l'an dernier je fais partie des septuagénaires, ce qui ne m'empêche pas de garder un œil sur les créations contemporaines. Quand je dis un œil, c'est avant tout un œil critique. En 2015, rien ne m'avait jamais tant mis en rogne que l'éventration scandaleuse du Tapis Vert à Versailles. La suite de l'histoire (si ça vous intéresse) en cliquant ici.
C'est aux antipodes des lourds étalages de l’art contemporain, officiel et financier, que se situe la discrétion de l’œuvre d'Isaac Cordal. Un artiste (article Wikipédia) qui s'efforce de refléter les méfaits engendrés par le système économique qui nous gouverne, ceci afin de nous alerter sur ce qui nous attend, certains de ses personnages figurant notre présent de manière étrangement prémonitoire... D'autres images sur son site officiel. Malheureusement, le coronavirus vient de faire un méchant croche-pied à la prochaine exposition d'Isaac Cordal.
Bon, d'accord, je veux bien accepter (du bout des lèvres) de ne pas être complètement incompétent ! Mais vous ne m'enlèverez pas de l'idée que dans le "marché de l'art" contemporain, le mot "marché" a pris le pas sur le mot "art"... Et je ne pense pas qu'à Jeff Koons !
"On est passé d'un marché de l'Art à un art de marché" C'est exactement ce que dit Christine Sourgins (l'auteur du blog que j'ai mis en lien dans mon commentaire précédent à propos du "lupan-art" du château de Versailles) dans la deuxième minute de cette vidéo éclairante sur "L'art et l'argent" (liaison dangereuse !).
L'art contemporain (dans lequel le mot "art" est à 95 % dévoyé) est quasiment à l'opposé du Street-art, qui au départ est destiné à être un art éphémère, vu par un large public sans bourse délier.
Alors là, vous exagérez .
RépondreSupprimerOui mais en même temps, c'est ici que se trouve le lectorat le plus cultivé du ouaibe !
RépondreSupprimerPour accrocher un manteau ou des UGG ?
RépondreSupprimerC'est quoi donc des UGG ?
RépondreSupprimerHA,HA,HA !!! C'est une vengeance.
RépondreSupprimerPlus sérieusement (l'époque l'exige): un poisson?
RépondreSupprimerEn bas,un octopus de GZUPP.
RépondreSupprimer@ Nina: J'étais sérieux quand je disais que je ne savais pas ce que c'était !
RépondreSupprimer@ Nina: Alors un "octopus", ça se dit "pieuvre" en français, et ensuite, arrêtez de parler avec des mots que je ne comprends pas (ZDGUPP) !
GZUP !!! (avec un P,ça vous va ?). Un impasse religieux, na !
RépondreSupprimerGZUP vous même ! (je ne sait toujours pas ce que c'est).
RépondreSupprimerEt puis "impasse" c'est féminin !
Et le "street Art", c'est quoi ? c'est "trans" ? Et puis,d'abord, votre bidule a été apposé là pour je ne sais quelle raison. Mais,je cherche MOI.
RépondreSupprimerEt demandez au galeriste au numéro 8, il vous expliquera.Mais,il doit être fermé,au vu de l'actualité... (et l'actualité ne m'amuse pas).
RépondreSupprimerIl s'agit clairement d'une patère. Je pencherais donc pour un monument en hommage à Isaac Newton et sa célèbre loi sur la chute des corps : "quand on lâche un truc, il tombe patère ".
RépondreSupprimerJe n ai pas d'autre explication.
Ah,Mathieu, je vous kiffe :)
RépondreSupprimerEt moi qui pensais que grâce au lectorat le plus cultivé du ouaibe, nous allions connaitre lé réponse... Je suis effondré !
RépondreSupprimerJe pense à une bouche d'évacuation, très arty,-type chauffage au gaz- en raison de son positionnement en hauteur, voir alignement par rapport à la lanterne.
RépondreSupprimer"Ce tentacule" tient autant de l'oiseau que du poisson...
Vos échanges me font bien rire et en cette période c'est bon à prendre !
Genre gargouille d'Ender.
RépondreSupprimerEt, au-dessus, un "oré" (de gzup). Et ne me dites pas que vous ne comprenez rien, le parisien le plus cultivé du ouaibe !!!
RépondreSupprimerJe ne sais pas si c'est le virus, mais je ne comprends qu'à peine un mot sur deux dans vos différentes réponses qui n'en sont pas !
RépondreSupprimerPan sur le bec ! Oré est le nom de l'artiste du dessus :). Quant au 'poisson' qui a une indigestion, je ne trouve pas. Je suppose que le galeriste (très important) voulait attirer l'attention sur son nouveau showroom (...lieu d'exposition).
RépondreSupprimerImpasse St Claude.
RépondreSupprimerQuand j'examine la photo, je vois une tête de triton dans la gueule d'un poisson;oui,les poissons mangent les tritons. Un ornement de fontaine?
RépondreSupprimerJe souhaite à tout le monde d'avoir toujours envie de jouer dans cette ambiance délétère.
RépondreSupprimerJe signale aux populations admiratives que Nina a trouvé l'emplacement de cette chose !
RépondreSupprimerDe l'utilité du 'street art'. Ugg est une marque de bottes fourrées. Oré, Gzup et Invander sont partout dans Paris.
RépondreSupprimerOh, vous savez, moi, depuis Michel-Ange...
RépondreSupprimerBravo ! Nina, pour avoir déniché le lieu.
RépondreSupprimerChose très surprenante, dans Street View le bidule en forme de patère n’apparait sur aucune des neuf photos de cet endroit précis prises en avril 2008 la première, et la dernière en mai 2019.
Conclusion logique, pour moi il s'agit ni plus ni moins d'une œuvre de street art, collée là comme des deux trucs colorés en bleu et jaune de part et d'autre du bidule.
Et merci à vous JPD, pour l'énigme à résoudre. C'est l'idéal pour nous changer les idées.
RépondreSupprimerJ'espère que vous en avez un bon stock, pour nous permettre de tenir pendant plusieurs semaines ;-)
Merci aussi à Thérèse pour le lien vers les œuvres d'Ender ; voir sa petite biographie en cliquant ici.
RépondreSupprimerPlusieurs semaines ? Vous voulez dire plusieurs mois ! lol
RépondreSupprimerOn avance... mais le tout n'a pas été encore dit. Un petit air de Dr Schnabel sans bec.
RépondreSupprimerBravo à tous et tout particulièrement à Nina mais qu'est-ce ? Juste un "machin" ou une œuvre pour faire "turbiner" nos méninges.
RépondreSupprimerComme je l'avais dit, j'ignore la réponse à la question "qu'est-ce que c'est". C'est juste mon oeil de faucon qui a accroché ça en passant et ça m'a semblé curieux.
RépondreSupprimerIl est vraisemblable que ce soit une "oeuvre d'art" spontanée, mais je suis beaucoup trop incompétent pour analyser ou apprécier !
JPD, je refuse de voir en vous un "incompétent" ! on apprend à tout âge :-)
RépondreSupprimerDepuis l'an dernier je fais partie des septuagénaires, ce qui ne m'empêche pas de garder un œil sur les créations contemporaines.
Quand je dis un œil, c'est avant tout un œil critique. En 2015, rien ne m'avait jamais tant mis en rogne que l'éventration scandaleuse du Tapis Vert à Versailles. La suite de l'histoire (si ça vous intéresse) en cliquant ici.
C'est aux antipodes des lourds étalages de l’art contemporain, officiel et financier, que se situe la discrétion de l’œuvre d'Isaac Cordal.
Un artiste (article Wikipédia) qui s'efforce de refléter les méfaits engendrés par le système économique qui nous gouverne, ceci afin de nous alerter sur ce qui nous attend, certains de ses personnages figurant notre présent de manière étrangement prémonitoire...
D'autres images sur son site officiel.
Malheureusement, le coronavirus vient de faire un méchant croche-pied à la prochaine exposition d'Isaac Cordal.
Bon, d'accord, je veux bien accepter (du bout des lèvres) de ne pas être complètement incompétent !
RépondreSupprimerMais vous ne m'enlèverez pas de l'idée que dans le "marché de l'art" contemporain, le mot "marché" a pris le pas sur le mot "art"... Et je ne pense pas qu'à Jeff Koons !
Parfaitement ! JPD, vous avez tout-à-fait raison.
RépondreSupprimer"On est passé d'un marché de l'Art à un art de marché"
C'est exactement ce que dit Christine Sourgins (l'auteur du blog que j'ai mis en lien dans mon commentaire précédent à propos du "lupan-art" du château de Versailles) dans la deuxième minute de cette vidéo éclairante sur "L'art et l'argent" (liaison dangereuse !).
L'art contemporain (dans lequel le mot "art" est à 95 % dévoyé) est quasiment à l'opposé du Street-art, qui au départ est destiné à être un art éphémère, vu par un large public sans bourse délier.