mercredi 14 août 2019

Domaine de Villarceaux (8)

Hors Paris

Comme chaque année au mois d'août, Paris-Bise-Art vous propose la visite d'un château de la région parisienne. Cette année est consacrée au domaine de Villarceaux.
Vous pouvez voir les autres châteaux ici: Clic ! 

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Après l'intérieur du château, retour à l'air libre pour la suite de la visite !



Du château, nous nous dirigeons plein nord en suivant l'allée d'honneur


à l'extrémité de laquelle se trouve la grille d'honneur:


Ce qui fut l'entrée principale du domaine quand le château était en activité: la superbe grille aux armes de la famille et les deux postes de garde:



Sans oublier le saut-de-loup:


Au-delà de la grille (fermée à clef), la route jadis empruntée par les carrosses pour se rendre à Paris:


Les deux postes de garde sont presque rigoureusement identiques...


Presque car celui de droite est surmonté d'une croix; il s'agit de la chapelle.
Celle-ci remplace l'originale qui se trouvait à l'intérieur du château. Elle a été consacrée au milieu du XIX° siècle par l'archevêque de Rouen et est placée sous la protection de St-Antoine et St-Michel.


La visite est autorisée, une porte est ouverte, entrons !


Ah, c'est sûr, ce n'est pas Notre-Dame !
Mais c'est plus intime.


 Ce petit espace est éclairé par deux vitraux colorés du XIX° représentant les deux saints protecteurs:


Sur la gauche, ce qui reste du cénotaphe (fin XVI° siècle) de Nicolas de Mornay, grand-père du fameux Louis de Mornay, marquis de Villarceaux qui fut amant de Ninon de l'Enclos.


Adjacente à la chapelle une minuscule sacristie avec son chapier.


En sortant, nous observons sur le toit l'ancien système d'accrochage des cloches:


 Retour vers le château !


Perpendiculaires à l'allée d'honneur, d'autres allées s'enfoncent dans les sous-bois; l'accès en est malheureusement interdit.



On ne les voit que de loin, mais ces allées sont agrémentées de statues de dieux et déesses de la mythologie grecque et romaine.


Nous approchons des communs du château haut (ne pas confondre avec les communs du bas); on ne visite pas car une partie du personnel du domaine y réside.



On pourrait sonner cette cloche... La corde est encore là, c'était tentant mais je n'ai pas osé !


Parvenus à l'extrémité est du château et alors que nous nous préparions à descendre le vertugadin, une petite porte ouverte attire mon œil de faucon.


Ce sont les commodités !


On y trouve aussi un distributeur de boissons, ce qui n'est pas superflu les jours de canicule !


Alors, ils ne sont pas chics, mes WC XVIII° siècle ?


à suivre...



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