Déjà le trente-huitième chapitre de cette saga dédiée aux services municipaux et à ceux qui les dirigent...
La décharge municipale de pied d'arbre continue son petit bonhomme de chemin, toujours aussi sale.
Coup de zoom sur cet affouillement signalé aux services municipaux voici trois ans. Dans deux mille ans, j'imagine la tête des archéologues découvrant que les sous-sols parisiens étaient constitués de bouteilles vides, de canettes de bière et de rats morts...
Le mur lui, continue à balancer entre sale, très sale et franchement dégueu...
Nouveau succès municipal: la station de vélib où, depuis le mois de février, un panneau nous annonce l'arrivée du nouveau vélib...
Au lieu de cela, les bornes vélib ont été démontées, la chaussée asphaltée, tant et si bien qu'il ne reste plus trace de l'ancienne station vélib...
Mais dans sa grande sagesse, la ville a décidé de laisser les barrières, ce qui fait la joie des rats qui y trouvent une nouvelle aire de jeux !
à suivre...
Plutôt que "la rue parisienne", j'intitulerais la série : "mes voisins sont dégueulasses". Je vous rassure, les miens aussi, mais quand je dépose des encombrants en le signalant, ils sont ramassés à l'heure prévue. Quant à écrire sur les murs, je crois que c'est devenu de l'art, non?
RépondreSupprimerHumour noir et j'en suis pas fier, néanmoins longeant tous les matins le canal St Denis pour aller à mon turbin, je constate les efforts importants de la mairie pour nettoyer, désencombrer et j'en passe. Peut être faudrait-il mettre quelques migrants rue de Clignancourt....
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RépondreSupprimerIl est bien possible que les migrants seraient preneurs d'un boulot de nettoyage salarié !
Ils remplaceraient ainsi les noirs ayant accompagné Lily, la Somalienne.
Otto.