Il y a deux jours, notre envoyé spécial Claude P; nous envoyait de jolies photos d'une glycine rue de Fourcy dans le IV°, ce que voyant, le grand barde s'est aussitôt souvenu de ses folles années, bien avant que la loi Marthe Richard ne fut votée.
Car pour le grand barde, la rue de Fourcy évoque immanquablement Le Fourcy, maison close tristement célèbre de la rue...
Si vous lisez l'anglais, je vous encourage à lire la notice Wikipedia consacrée à ce lieu de perdition; vous verrez où le grand barde a passé le plus clair de son temps...
J'ajoute ce commentaire de Claude P; dont bien sûr, je me désolidarise totalement: "A noter que cet établissement se trouve à quelques mètres de la rue de Jouy
!!!!"
J'ajoute ce commentaire de Claude P; dont bien sûr, je me désolidarise totalement: "A noter que cet établissement se trouve à quelques mètres de la rue de Jouy
!!!!"
10 rue de Fourcy, Paris IV°.
Etonnant rien ne permet d'indiquer discrètement ce que cachait cet immeuble, pas même un numéro de rue un peu stylisé comme parfois.
RépondreSupprimerJ'imagine qu'à l'intérieur il n'y a plus rien qui rappelle (en tout cas au niveau des aménagements et de la décoration, les habitants actuels pouvant faire ce qu'ils veulent)
Si j'en crois ce que j'ai lu, ce n'était pas une maison comme les One two two et autre Spynx, c'était plutôt une maison abattage.
RépondreSupprimerVous avez vraiment décideé d'infliger humiliation sur humiliation au grand barde
RépondreSupprimer1) en lui imputant un quelconque attrait pour l 'amour tarifié et les gourgandines à biftons
2) avoir mis un lien sur une page en anglais , langue où il n'entrave pas grand chose , Mers el kebir et le barbecue de Jeanne d'Arc n' arrangeant pas les choses
Un peu comme boulevard de la Chapelle (j'ai oublié le numéro: dans les 100?) où l'on voyait du métro aérien la queue devant l'entrée d'un hôtel d'abbatage
RépondreSupprimerMarc ! Relis ta phrase et tu verras que "file d'attente" eut été plus approprié ! lol
RépondreSupprimerentre Claude P avec la rue de Jouy et Marc avec la queue on touche le sublime et la perfection
RépondreSupprimerle grand barde est heureux de voir d'éminents visiteurs de ce blog participer à son opération " 3 mois d'anthologie"
« Nous marchions au milieu de la rue, Gaby et moi, lorsque d’un couloir sombre jaillit la masse informe d’une dame âgée. Elle se précipita sur un ouvrier qui se dirigeait vers le Fourcy.
RépondreSupprimer- Ah ! Mon salaud : c’est ici que tu veilles ! Et que tu viens bouffer tes ronds ! Et moi alors : Je me mets la corde ! Allez ! Rentre à la maison, cochon !
Et le pauvre petit bonhomme tournant comme une girouette sous les claques qui tombaient drues… »
Extrait d’un reportage de Gaston Montho sur Le vrai « Milieu », paru dans Paris-Soir le 21 juillet 1931.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k76393349/f2.item.r
Merci pour ces quelques mots de poésie !
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