Suite de notre grand feuilleton "la rue parisienne" !
Avec de nouveaux rebondissements dedans...
Commençons par la décharge municipale que la mairie s'obstine à nommer "végétalisation des pieds d'arbres": statu quo ante !
Le mur quant à lui a vu une aggravation de la situation par la multiplication des tags...
Jusqu'au jour où... Miracle !
Le magasin Carrefour, si négligent jusqu'alors, s'est mis en devoir de nettoyer sa façade (les vitrines aveugles lui appartiennent) et le même jour, la ville de Paris a envoyé ses commandos anti-tags...
Oui mais voila, si les ouvriers travaillant pour Carrefour ont fait leur travail correctement, on ne peut pas en dire autant des ouvriers de la mairie. Ceux-ci en effet ont soigneusement contourné une affiche sauvage et un tag (flèches rouges), et laissé à la saleté deux grandes portions du mur (en bleu). Pourquoi ?
L'explication est là, sous nos yeux: Les ouvriers de Carrefour avaient protégé leur zone de travail par des barrières mobiles afin de protéger les passants des projections. Les ouvriers de la ville n'ayant pas les mêmes scrupules n'ont pas pris la peine de déplacer sur un mètre la palissade mobile afin de terminer "leur" mur; ils ont préféré se hâter en bâclant le travail...
Observez qu'à l'angle du mur, entre les deux panneaux barbouillés de frais, il subsiste une zone (la tranche) non traitée, pourquoi ?
Sincèrement, vous croyez qu'il y a un responsable de tout ça ?
Cependant qu'à vingt mètres de là:
à suivre...
J'admire votre "REBELLE-CONSTANCE " (ou l'inverse...) et je vous soutiens.
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