Vous souvient-il de cette sculpture posée en 2013 sur un trottoir de la rue Soufflot ?
photo Ahmed Ben Cheikh |
Œuvre monumentale de Hong Biao Shen représentant un lutteur mongol, elle avait fait jaser...
Les étudiants l'avaient surnommée affectueusement "le gros tout nu".
Le sculpteur chinois, ex-étudiant à la Sorbonne, en avait fait don à son université.
Mais où est-elle partie ? A-t-elle rejoint les steppes de sa Mongolie natale ?
Une enquête s'imposait...
Après de longues recherches, c'est une annonce "Portes ouvertes à l'institut de géographie" qui nous a mis la puce à l'oreille. Allions-nous retrouver notre mongol fier ?
Direction la rue Saint-Jacques...
Il n'est pas dans le grand amphi...
Soudain, à travers une vitre, la silhouette familière apparaît dans le petit jardin !
Je ne voudrais pas être désagréable mais par ce temps, laisser le mongol tout nu sous la pluie confine aux mauvais traitements !
191 rue Saint-Jacques, Paris V°.
À cause de vous nous allons avoir des problémes avec Kim Jong Un , en aucun cas le grand barde ne peut cautionner ça
RépondreSupprimerAttendons Kim Jong Deux !
RépondreSupprimerCe cas de Corée me turlupine
RépondreSupprimerOn ne contrepète pas après vingt heures !
RépondreSupprimerJe vous transmets ici un poème de notre Parnassien Otto.
RépondreSupprimerSi Otto me lit, qu'il me contacte ( paris.bise.art@gmail.com ) Merci !
Toutes les biroutes chinoises
Sont représentées petites
Ne cherchez pas des noises
A ce Chin'toc sans mérites !
Sûr, y'en a d'plus belles ici
Que l'on se montre, entr'amis
On se les pipe, oui Madame
Ne dites pas non. Sur mon âme
Vous le fîtes : c'est donc permis.
Otto.