samedi 30 décembre 2017

Pour finir l'année...

Pour finir l'année, quelques photographies de la rue parisienne avec une thématique que je vous laisse deviner...









***

L'exposition universelle de 1900 vue par Marc Allégret et un des premiers films sur Paris. Tramways à vapeur, fiacres, omnibus hippomobiles, un président Millerand, et les vues exceptionnelles de "l'expo".


***

Une longue (24 minutes) suite d'images d'un très vieux Paris. Les photographies d'Eugène Atget sont soulignées par une bande-son où l'on va de Marc Ogeret aux Frères Jacques...
À savourer dans un bon fauteuil en sirotant une boisson démodée genre fine à l'eau ou Noyau de Poissy !


***

Une suite de photographies de Doisneau mise en musique par Erik Satie:


***

Début des années soixante: les grands monuments parisiens commencent à peine à être ravalés (Merci monsieur Malraux !), une circulation fluide à base de Dauphine, de 403, de DS... Et même la place de l'hôtel de ville engazonnée !


***

4 commentaires:

  1. Ah les bus parisiens, quelle tristesse lorsque l'on regarde les véhicules aseptisés actuels ils sont peut être plus écolos mais j'en doute, le bus hybride qui passe devant chez moi à un certif'air 2 comme mon véhicules diesel...
    Les bus parisiens: les seuls au monde où l'on y fait des campagnes de lutte contre l'incivilité vu l'ambiance entre les passagers, les seuls au monde à n'avoir que 2 portes car une montée par une 3ème porte au fond du bus (porte pourtant bien utile pour répartir les passagers) encouragerait la fraude (sic..), seuls bus au monde où l'on ne sait où se mettre car si on est courtois et que l'on laisse les places assises, se mettre debout au milieu est impossible vu le nombre excessif de poussettes dépliés. Seuls bus au monde à ne pas avoir d'étage...car cela abîme les arbres ou allonge les temps d'arrêt (les londoniens et les berlinois apprécieront) Et je passe sur les temps d'attente, les lignes parisiennes qui ne vont pas au-delà du périphérique, le manque criant de bus (il suffit de photographier les couloirs de bus des grands axes parisiens et ceux de Londres pour comprendre). On nous a même supprimé les seuls bus sympas à plateforme (20; 29 et 56) pour des raisons de sécurité (liées aux principes de précaution des assureurs). En bref, si j'adore le réseau du métro, je hais les bus (actuels) parisiens (à l'exception des articulés) qui sont incolores et ne représentent plus Paris

    RépondreSupprimer
  2. En plus, au rythme où la ville de Paris paralyse la circulation de tous les véhicules (y compris les bus), on va assister à une désaffection pour ce réseau.
    Déjà certains projets sont dans les tiroirs pour tenir compte des nouveaux bouchons-hidalgo; certaines lignes vont être carrément amputées d'une partie de leur itinéraire pour éviter les points de blocage. Le 30 va s'arrêter à Pigalle pour éviter Gare du Nord, le 85 va s'arrêter rive droite pour éviter la traversée de la Seine, etc...).
    Tout cela sera bien sûr habillé de mots qui vont bien comme "plan-bus", redéploiement, etc...

    RépondreSupprimer
  3. J'aime me balader dans Paris, sans raison, sans but, En autobus.
    Oui, j'abuse du bus.

    Merci JPD pour cette série clôturant l'année sur le Paris que nous aimâtes (emprunt à Raymond Queneau in L'Amphion).

    RépondreSupprimer
  4. Que Vous aimâtes ! avec un V comme Volnay !

    RépondreSupprimer