Après une longue période de fermeture, la galerie de minéralogie a rouvert, il nous fallait donc aller y jeter un œil.
Nous voici donc rue de Buffon, le long du Jardin des plantes, devant le long bâtiment consacré à la minéralogie.
L'ancienne entrée située dans le jardin des plantes est fermée, ah bon !
Ça ne nous empêche pas d'admirer à l'extérieur ces troncs d'arbres; ils sont pétrifiés, nous aussi !
Nous parvenons à la nouvelle entrée, la plus proche de la Grande Galerie de l'évolution.
Le hall d'entrée a (heureusement) conservé ses peintures murales:
Surprise, nous tournons à droite dans le hall, car seule l'extrémité ouest de l'ancienne galerie est ouverte. Les collections permanentes que nous allons visiter ne s'étendent plus que sur environ 20% du bâtiment; un gardien me dit que le reste sera consacré aux expositions temporaires.
Nous entrons dans un espace sombre où seules les vitrines et les pierres sont éclairées. C'est beau, c'est plutôt chic.
Ne me demandez pas de vous expliquer scientifiquement ce que vous voyez, j'en suis incapable, mais faites comme moi, jouissez du spectacle, c'est aussi beau que les vitrines de la place Vendôme !
Attention, chef d'œuvre !
Ce plateau de table est en marbre noir des Ardennes associé à une dizaine de pierres différentes.
Ainsi donc, l'or est une pierre... c'est nouveau !
Non ce ne sont pas des oursins !
Voila, nous avons tout vu... Vingt mètres à l'aller, vingt mètres au retour... Comment dire... Je ne suis pas déçu parce que c'est incontestablement beau, mais franchement pour le prix du ticket, on en voit plus au Musée de minéralogie de l'école des Mines ou au Musée de Minéralogie de l'université Pierre & Marie Curie, tous deux déjà vus sur PBA.
C'est beau le soleil d'automne !
Prix d'entrée: 6,00 €
MNHN, Galerie de minéralogie, rue de Buffon, Paris V°.
Le grand barde voudrait que vous cessiez de nous parler du patrimoine , mais plutôt du matrimoine et faire enfin un article sur une école paternelle et un autre sur la paternité de Port Royal
RépondreSupprimerEn parlant du matripoine, je viens de penser que le grand barde peut très bien s'affranchir de ce genre masculinisant insupportable, et s'écrire au féminin !
RépondreSupprimerPourquoi pas la grande barde ? (et puis ça au moins, ce serait de lard !)
Triste époque que la nôtre où les hommes démasculinisés compensent avec la mode de la barbe (tout en s'épilant le reste du corps) pour ressembler aux talibans et à nos ennemis de Daesch. Au moins les romains de la République et du Haut empire était glabre par opposition aux barbares et lorsque sous Henri IV on portait la barbe , c'était pour faire sa cour et non pas comme actuellement pour faire comme tout le monde et faire fi de sa personnalité...mais je m'éloigne du sujet
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