lundi 5 juin 2017

La rue parisienne (5)

Un grand bravo à la mairie de Paris dont la stratégie artistique nous tient en haleine jour après jour !
Bien sûr, si vous regardez rapidement ce petit coin de la rue de Clignancourt, vous ne voyez qu'un sommier artistement dressé contre la paroi... Et c'est là que l'esthète qui sommeille en vous doit se réveiller !
Regardez bien les affiches: elles ont changé. Monsieur Asselineau recouvre Knappy Kaisernappy, et madame De Haas a pris la place de monsieur Mélenchon. Doit-on y voir un message ?
À la question "la verre brisé est-il toujours là ?", la réponse est oui, gage d'une certaine continuité.


2 commentaires:

  1. Ce blog commence à bien porter son nom. Il devient bizarre !

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  2. Je suis un peu perplexe sur la série du reportage "la rue parisienne"
    Pouvant en faire un similaire dans ma rue de la Roquette, j'aurais plutôt tendance, pour une fois, à épargner la Ville, mais pas l'incivisme des parisiens ou des colleurs d'affiche des parties politiques.
    A peine le fourgon de la Ville passé pour ramasser les immondices des parisiens (il passe tous les jours tôt le matin et le soir et immédiatement dès qu'on indique sur le site Paris.fr le lieu de l'immondice à virer ou du tag à enlever).

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