Hors Paris
A Vitry comme ailleurs, les installations ferroviaires constituaient une cible pour les bombardements alliés à la fin de la deuxième guerre mondiale; la dernière alerte y remonte au 25 février 1945 à 23h25.
Bien avant l'inauguration de la gare-voyageurs des Ardoines, des ateliers étaient présents sur le site.
Quelque-part au milieu des voies, subsiste une tranchée-abri similaire à celle de Bercy (Clic !).
Malheureusement, ici, les accès "normaux" ont disparu. Il ne reste que l'issue de secours.
Gare des Ardoines, rue Léon Geffroy, Vitry-sur-Seine (Val de Marne).
Dernier bombardement en février 1945 , à cette date presque toute la France est libérée sauf une partie de l'Alsace et quelques poches résiduelles sur l'Atlantique
RépondreSupprimeron voit bien que les criminels nazis ne s'avouaient pas encore battus à cette époque et que leur fanatisme les aveuglait encore
Achtung ! J'ai parlé de la dernière "alerte" (et non bombardement).
RépondreSupprimerJ'avais bien saisi la nuance ; mais s'il y avait une alerte c'est qu'il y avait suspicion de bombardement
RépondreSupprimeron peut aussi considérer que chaque fois que les cheminots sont descendus dans cet abri depuis la dernière guerre pour y jouer à la belote ou y écluser des canons , c'est suite à une alerte aussi
Z'avez qu'à dire que les cheminots boivent !
RépondreSupprimerCher JPD en regardant hier soir l'avenue des Champs Elysées fermée après l'attentat avec en arrière plan la roue illuminée de Campion qui tournait encore je me suis fait la réflexion suivante ., cette roue que nous détestons tous, hier soir montrait que nous n'avons pas peur des terroristes et que la vie continue et que les parisiens et les français continuerons à sortir dans les bars , aux spectacles et même à la fête foraine illégale du roi des forains
RépondreSupprimerD'accord avec vous à ceci près que j'utiliserais plutôt la roue pour - moyennant un léger surrégime - expédier tous ces connards obscurantistes et complexés vers une autre galaxie !
RépondreSupprimeril est vrai aussi que si on mettait ces débiles dans les mains des sbires de Campion on n'en entendrait plus parler
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