mercredi 14 décembre 2016

Hôtel Le Duc de Biéville

L'hôtel Le Duc de Biéville, construit en 1764, est surtout connu pour avoir abrité un cénacle romantique comme le rappelle une plaque fixée (il manque un clou) à la façade.



L'entrée cochère majestueuse donne une idée de la noblesse de l'édifice...


C'est quand même plus beau qu'une ampoule led laide, non ,


Un vestibule qui a de l'allure:


Une dame toute nue:


Une dame vêtue:


Un escalier comme je les aime !



Grimpons !


Coup d’œil vers le haut:


Entre le premier et le deuxième étage, une différence de classe à peine perceptible


En revanche, entre le deuxième et le troisième, on sent vraiment la différence !


Un bas-relief porte encore le monogramme de l'agent de change Ferdinand Tattet:


C'est beau, non ?


Hélas, la façade côté jardin est peu visible, encombrée par des bâtiments tristement fonctionnels


La porte est ouverte aux heures ouvrables grâce à la présence dans la cour d'une maison de ventes aux enchères.



10 rue de la Grange-batelière, Paris IX°.

4 commentaires:

  1. Cher JP, attention : la dame vétue est Diane et la dame "toute nue" est en fait un berger (il me semble voir un attribut masculin)

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  2. Le bâton de berger m'aurait donc échappé ? Étonnant !

    (J'ai un peu honte, parfois)

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  3. le grand barde de PBA14 décembre 2016 à 16:38

    Logique que le nom de l'agent de change soit Jean François Tattet , avec tout l'argent qu'il a touché
    et moi vous croyez pas que j'ai honte aussi

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  4. le grand barde de PBA14 décembre 2016 à 16:43

    ben oui la bergère semble avoir comme dans la chanson de Renaud ( le retour de Gérard Lambert ) deux madeleines et une demi baguette

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