L'hôtel Le Duc de Biéville, construit en 1764, est surtout connu pour avoir abrité un cénacle romantique comme le rappelle une plaque fixée (il manque un clou) à la façade.
L'entrée cochère majestueuse donne une idée de la noblesse de l'édifice...
C'est quand même plus beau qu'une ampoule led laide, non ,
Un vestibule qui a de l'allure:
Une dame toute nue:
Une dame vêtue:
Un escalier comme je les aime !
Grimpons !
Coup d’œil vers le haut:
Entre le premier et le deuxième étage, une différence de classe à peine perceptible
En revanche, entre le deuxième et le troisième, on sent vraiment la différence !
Un bas-relief porte encore le monogramme de l'agent de change Ferdinand Tattet:
C'est beau, non ?
Hélas, la façade côté jardin est peu visible, encombrée par des bâtiments tristement fonctionnels
La porte est ouverte aux heures ouvrables grâce à la présence dans la cour d'une maison de ventes aux enchères.
10 rue de la Grange-batelière, Paris IX°.
Cher JP, attention : la dame vétue est Diane et la dame "toute nue" est en fait un berger (il me semble voir un attribut masculin)
RépondreSupprimerLe bâton de berger m'aurait donc échappé ? Étonnant !
RépondreSupprimer(J'ai un peu honte, parfois)
Logique que le nom de l'agent de change soit Jean François Tattet , avec tout l'argent qu'il a touché
RépondreSupprimeret moi vous croyez pas que j'ai honte aussi
ben oui la bergère semble avoir comme dans la chanson de Renaud ( le retour de Gérard Lambert ) deux madeleines et une demi baguette
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