Le faubourg Saint-Antoine a été urbanisé bien avant l'annexion par Paris des communes limitrophes en 1860. Nous étions sur la route de Paris à Vincennes.
De cette époque pré-haussmannienne, subsistent des traces comme ce petit passage où l'on imagine d'abord des jardins vivriers, puis des ateliers d'artisans, et maintenant des appartements qu'on appellera bientôt "lofts".
La porte est ouverte, entrons !
Un silencieux bric-à-brac ensoleillé nous accueille,
voici peut-être l'unique boîte à lettres qui n'a pas été taguée...
Un ancien commerce :
On appelait ça "le petit coin" !
Allez, demi-tour, la grande ville nous attend !
Ça, c'est Paris !
277 rue du faubourg Saint-Antoine, Paris XII°.
Enfin
RépondreSupprimerVous êtes sorti du séminaire , je croyais que vous alliez rentrer dans les ordres
J'y ai songé ! Mais la robe de bure me boudine...
RépondreSupprimervu ce soir sur Arte une émission " l'église et l'argent" , on y parle de ND de Lorette qui est dans un état déplorable et dont le coût de restauration serait égal au budget annuel de la ville de Paris consacrée à 96 églises
RépondreSupprimeron n'a pas fini de voir des tôles et autres échafaudages de protection
avec son paquet d'immeubles, on a l'impression que Paris est une ville très dense...c'est à chaque fois surprenant ce que l'on peut trouver derrière une porte lorsqu'elle s'ouvre!
RépondreSupprimerComme à Londres, les mews. J'adore.
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