A Paris, les combats de la Libération dureront jusqu'au 25 août 1944. Ils seront particulièrement durs sur l'île de la Cité, notamment aux abords de la Préfecture.
L'Hôtel-Dieu quant à lui sera sera victime d'un char allemand. Cette trace d'obus en témoigne :
Face au 15 rue d'Arcole, Paris IV°.
Glorieuse cicatrice ! Dans le domaine de l'étrange, je vous conseille le musée de la Franc-maçonnerie 16 rue Cadet 75009, vous y découvrirez un monde qui, finalement, n'est pas si bizart que ça !...
RépondreSupprimerSI je puis me permettre une remarque ,le tenancier de ce blog a fait un article sur le dit musée en février 2014
RépondreSupprimerDans celui ci sur la Rue d' Arcole son sens de l'observation est toujours aussi aiguisé , pour ma part s'il n'avait pas fait si chaud j'aurais blagué sur le trou de balle , mais je n'en ai plus la force
RépondreSupprimerIl y a trou de balle, certes, mais le viol n'est pas consommé. Il y a seulement tentative. Ah ! la résistance, c'est quèq'chose !
Otto
A propos de la rue d'Arcole, je mettais laisser dire que ce nom n'aurait rien à voir avec la bataille dudit pont mais serait le nom d'un insurgé de la révolution de 1830 (dont le nom n'apparaît pourtant pas sur la colonne de Juillet)????
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