“Tout homme a dans son cœur un cochon qui sommeille.” ( Charles Monselet )
A deux pas de la place de Clichy, dans une petite rue calme, se cache un petit hôtel tranquille, comme le dit la brochure.
Tranquille ? Assurément. Mais ce ne fut pas toujours le cas.
"Maison" de bonne réputation avant-guerre, le Rotary deviendra une pauvre maison de passe après la loi Marthe Richard de 1946...
C'est effectivement aujourd'hui un petit hôtel tranquille et impeccable à la clientèle de touristes et de représentants.
D'ailleurs la direction ne souhaite pas trop parler du passé...
Tant et si bien qu'à défaut de passer une nuit dans chaque chambre, je me vois contraint de vous proposer des photographies provenant du site de l'hôtel ( Clic ! ). Car l'hôtel a de beaux restes, voyez plutôt !
Nuits de Chine, nuits câlines...
Comme je sens chez certains comme une frustration, écoutez donc Alice Dona :
4 rue de Vintimille, Paris IX°.
je commence à m'inquiéter pour vous
RépondreSupprimerce jour un article sur une maison de passe
, l'autre jour , c'était sur l'église St Leu St Gilles qui est Rue Saint Denis à deux pas du fameux " love hôtel "
à part çà continuez à nous régaler des vos trouvailles
Que voulez-vous... Je me sacrifie pour mes lecteurs !
RépondreSupprimervivement le récit de votre visite au "love hôtel"
RépondreSupprimeren espérant que ce soit aussi chaud que le film de Gaspar Noê présenté hier à cannes ou que Cinquante nuances de Grey
Triste ballade dans les environs de la place clichy ce 25 août 2017, le rotary hotel est définitivement fermé (voire abandonné) et Charlot roi des coquillages est devenu depuis hier un franprix (qui an conservé au 2ème étage une petite enseigne "Charlot")
RépondreSupprimerTout fout l'camp mes braves...
RépondreSupprimerMoi, j'ai 49 balais et je vous assure que les maisons devraient rouvrir comme le chantait aussi Jean Yanne...
J'ai travaillé dans les derniers théâtres érotiques de Paris (il en reste un ou deux) et j'ai passé les deux plus belles années de ma vie. Il reste l'enseigne du Théâtre Saint-Denis au numéro 70 de la rue et j'y vais souvent comme en pélerinage : tout est bien gravé au fond de ma mémoire, les loges, la scène, le théâtre, la régie où le régisseur plongé dans un bouquin nous éclairait de temps à autres mais aussi nous "oubliait" sur scène, on l'alpaguait ainsi :"et Momo tu peux couper la lumière, merci chéri !!!"
Moi, je rêve d'une loi qui s'appellerait la Loi Lili BRISSET
l'anti Loi Marthe RICHARD car il vaut mieux attendre le client dans un endroit bien chauffé que sur le bitume.
Lili
Merci de ce beau témoignage !
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