Petit rappel qui explique aussi ce "non respect potache" de Dupuytren: il était imbuvable. Surnommé le "Napoléon de la chirurgie"à l'origine de nombreuses innovations dans le domaine de la chirurgie, il n'en était pas moins odieux: surnommé le "brigand de l'Hôtel-Dieu", il ne supportait pas la gloire des autres et à la mort de Bichat (dont il sera accusé par Laennec d'avoir pillé les travaux) a dit "enfin je commence à respirer". Il fera chasser Pelletan de l'Hotel-Dieu. Franc-maçon, il n'en avait pas toutes les vertus théoriques
Monod interne reçu au concours du 14 décembre 1825 sera plus tard privé de son salaire par Dupuytren, pour avoir refuser de lui communiquer en premier le résultat des autopsies : "habitude qui permettait au Maître de briller devant les étrangers par des prédictions toujours exactes." Dupuytren prend la défense de M. King qui "mesure la poitrine des patientes". Hôtel Dieu (Registre de correspondance ) : 28 juillet 1826, à M. Desportes, pp. 25-26
Petit rappel qui explique aussi ce "non respect potache" de Dupuytren: il était imbuvable. Surnommé le "Napoléon de la chirurgie"à l'origine de nombreuses innovations dans le domaine de la chirurgie, il n'en était pas moins odieux: surnommé le "brigand de l'Hôtel-Dieu", il ne supportait pas la gloire des autres et à la mort de Bichat (dont il sera accusé par Laennec d'avoir pillé les travaux) a dit "enfin je commence à respirer". Il fera chasser Pelletan de l'Hotel-Dieu. Franc-maçon, il n'en avait pas toutes les vertus théoriques
RépondreSupprimermerci pour à Marc pour son éclairage sur ce chirurgien
RépondreSupprimerQuand je vous dis que Paris Bise Art a le lectorat le plus cultivé !
RépondreSupprimerMonod interne reçu au concours du 14 décembre 1825 sera plus tard privé de son salaire par Dupuytren, pour avoir refuser de lui communiquer en premier le résultat des autopsies : "habitude qui permettait au Maître de briller devant les étrangers par des prédictions toujours exactes."
RépondreSupprimerDupuytren prend la défense de M. King qui "mesure la poitrine des patientes". Hôtel Dieu (Registre de correspondance ) : 28 juillet 1826, à M. Desportes, pp. 25-26
Pour info, le statue est encore changé son décor malgré l'interdiction.
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