Merci Jean-Paul. Tout n'était pas " mieux avant " mais je ne peux m'empêcher de citer Raymond Queneau : "Le Paris que vous aimâtes n'est pas celui que nous aimons et nous nous dirigeons sans hâte Vers celui que nous oublierons". Et Michel Audiard "et c'est pourquoi j'intimerai l'ordre à certains salisseurs de mémoire qui feraient mieux de fermer leur claque merde ! hein !".
Allez, une petite polémique bien gentille.Certains liens figurant dans ce film sont encore semblables (Tuileries, cafés en terrasse, ...) et heureusement. Pour ce qui est de la circulation, elle était très dense et anarchique à l'époque (le klaxon en ville était autorisé voir obligatoire aux intersections), souvenez vous des places de la concorde et de l'Hôtel de ville véritables parkings en plein air. Quant aux immeubles, les lois sur le ravalement ont eu du bon, il suffit de regarder certaines façades du film. La vie parisienne n'était pas si idyllique: relire les livres de Brigitte Gros dont un qui a donné le fameux film "elle court elle court la banlieue"
Merci Jean-Paul.
RépondreSupprimerTout n'était pas " mieux avant " mais je ne peux m'empêcher de citer Raymond Queneau : "Le Paris que vous aimâtes n'est pas celui que nous aimons et nous nous dirigeons sans hâte Vers celui que nous oublierons". Et Michel Audiard "et c'est pourquoi j'intimerai l'ordre à certains salisseurs de mémoire qui feraient mieux de fermer leur claque merde ! hein !".
On respirait : presque pas de voitures ni de piétons. Nostalgie du Paris de mon adolescence...Merci pour cette trouvaille
RépondreSupprimerQuelques lieux bien difficile à reconnaitre vers la fin. J'ai bien aimé les halles.
RépondreSupprimerAllez, une petite polémique bien gentille.Certains liens figurant dans ce film sont encore semblables (Tuileries, cafés en terrasse, ...) et heureusement. Pour ce qui est de la circulation, elle était très dense et anarchique à l'époque (le klaxon en ville était autorisé voir obligatoire aux intersections), souvenez vous des places de la concorde et de l'Hôtel de ville véritables parkings en plein air. Quant aux immeubles, les lois sur le ravalement ont eu du bon, il suffit de regarder certaines façades du film. La vie parisienne n'était pas si idyllique: relire les livres de Brigitte Gros dont un qui a donné le fameux film "elle court elle court la banlieue"
RépondreSupprimer