Cet ancien immeuble industrieux de la rue de Charonne a définitivement perdu les ateliers qui faisaient vivre les faubourgs...
Si nous passons la porte (pas trop difficile), nous découvrons une cour restée intacte bien que fortement rénovée:
Si vous regardez bien la façade gauche au niveau du premier étage, vous voyez un premier cadran solaire...
... donnant les heures du matin:
La façade de droite est couverte de vigne-vierge, mais si l'on regarde mieux...
...on parvient à distinguer le deuxième cadran solaire donnant les heures du soir:
Cerise sur le McDo, avant de vous diriger vers la sortie, levez la tête. Malgré le ravalement récent, on a eu le bon goût de conserver cette méridienne à réflexion...
Hélas, le miroir renvoyant les rayons du soleil (et situé sur la bâtiment en face) a disparu.
59 rue de Charonne, Paris XI°.
Ce que je me demande quand même c’est comment ces horloges fonctionnaient l’hiver par temps couvert ou pluvieux (c’est souvent, à Paris, non ?). Comment pouvaient-elles rester à l’heure malgré cela ? Comment se fait-il qu’elles ne retardaient ou n’avançaient jamais et que celles de la rue de Charonne restaient synchrones ? Qui les remontait ? alors que le coucou suisse de ma salle à manger déconne sans cesse malgré mes soins permanents et que son zozio prend la nuit pour le jour. A minuit, il chante midi, ce con !....
RépondreSupprimerOtto.
Quand le zozio prend la nuit pour le jour, il faut prendre sa vessie pour une lanterne et tout s'éclaire ! (Confucius)
RépondreSupprimerCa, c’est vite dit !
RépondreSupprimerEssayez donc d'abord de l’attraper le zozio. Même ma femme n’y arrive pas et pourtant, elle a la main !
Otto.
Il y a tres longtemps j'habitais et je travailais dans cette cour et j'ai aidee la construction des portes cocheres. merci pour les images.
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