mercredi 29 avril 2020

Pérégrinons au Louvre (7)

Quand on a tout vu au Louvre, il reste toujours quelque chose à voir !
Suite de notre balade dans dédale où la beauté est partout...


La toilette de Vénus. Cette coupole (toile marouflée) vient du salon de compagnie du petit hôtel (dit "Petits appartements) du Palais Bourbon. Ce pavillon a été détruit en 1846 pour laisser place aux bâtiments du Ministère des Affaires étrangères.



 Le département des objets d'art renferme des trésors:



 



Ici les boiseries et le mobilier proviennent du château d'Abondant (Eure et Loir).



 Ici un portrait du duc de Chaulnes, représenté en Hercule, par Jean-Marc Nattier:


Des objets précieux comme s'il en pleuvait:




 


Plafond d'une grande salle du palais Pisani près de Santo Stefano à Venise:


 


 à suivre...

5 commentaires:

marc a dit…

une petite critique
Très belles photos MAIS (le mais qui casse) j'eusse préféré un reportage sur le Louvre insolite et "bise art"....mais il n'y a peut-être pas grand chose d'insolite. Il est vrai que le chapitre Louvre du remarquable livre de Dominique Lesbros (secrets et curiosités des monuments de Paris) donne quelques informations insolites mais pas forcément "photogéniques"
A ce propos je n'ai pas trouvé les endroits permettant le "prodige acoustique" de la salle des caryatides ni le cadran solaire de chantier quai Mitterrand. Et ce n'est pas faute d'avoir essayé. Si PBA peut faire suivre à Dominique Lesbros....

JPD a dit…

Pour être franc, ces photos ont été prises lors de mes très nombreuses visites matinales, quelquefois rien que pour une demi-heure (merci la carte Zamis du Louvre !). Mon seul but lors de ces visites est d'échapper aux troupeaux de touristes bruyants, c'est pourquoi certaines salles n'apparaîtront jamais tandis que d'autres auront le privilège de me voir souvent (peinture française par exemple).
Quant au prodige acoustique dont tu parles, il nécessite le silence pour pouvoir être entendu si j'ose dire...




Jordan a dit…

Je profite d'un article sur le Louvre pour poser une question (à laquelle je n'ai pas la réponse) concernant un de ses ponts les plus proches : celui du Carrousel.
J'ai vu souvent, dans différents articles et livres, que les réverbères placés aux extrémités dudit pont (et qui sont de Raymond Subes) étaient télescopiques et se hissent la nuit venue de 13 mètres à 20 mètres de hauteur.
Or en 19 ans à Paris, je ne me souviens pas les avoir jamais vus fonctionner ni les avoir constatés à une hauteur supérieure à celle qui est la leur dans la journée.
J'ai cherché sur votre site si riche (que je lis tous les jours) un article à ce sujet mais m'a recherche n'a rien donné.
Vous qui savez tout (ou en tout cas, vraiment beaucoup), savez-vous donc si ce mécanisme fonctionne toujours ???

JPD a dit…

@ Jordan: Vous avez raison, c'est une curiosité... qui ne fonctionne plus depuis des lustres (je suis drôle là non ?). J'ai quelque-part un article en préparation mais on trouve bien peu de documentation... Je vais tâcher de le remonter dans la pile des articles à faire !

marc a dit…

sauf erreur, passant souvent vers ce pont, j'ai l'impression que les hauteurs sont différentes....mais peut être est-ce une illusion de ma part???