mercredi 24 mai 2017

Arboretum de l’école Du Breuil

C'est maintenant qu'il faut aller visiter l'arboretum de l'école du Breuil, dans le bois de Vincennes. Toutes les nuances de vert n'ont pas encore été fanées par les chaleurs de l'été.
Allez-y en semaine et, si vous le pouvez, choisissez d'arriver dès l'ouverture (le matin à 9h30), quand la lumière n'est pas encore trop verticale.


C'est probablement l'espace vert le plus beau de Paris et paradoxalement, c'est le moins fréquenté.
La surface ? Près de treize hectares.


Vous commencerez sans doute par emprunter les allées bien tracées,


Vous vous enfoncerez dans les sous-bois



Contre-jour ? Je suis pour !


Entendez-vous  les oiseaux? 


Un petit ruisseau serpente et glougloute ... 


Des conifères de toutes sortes ont l'air d'avoir été posés sur une pelouse de golf



D'autres parties du domaine font inévitablement penser à la savane africaine



Ici, les allées ont été tracées à la tondeuse, au milieu des graminées (J'ai cru voir un gras minet !) 


Je me demande s'il y a des crocodiles dans cette zone humide...




Mais vous réalisez que nous sommes à Paris ?



50 Route de la Pyramide, Paris XII°.

5 commentaires:

marc a dit…

superbes photos.
De mémoire, PBA a fait plusieurs reportages sur l'école du Breuil, les jardins, le bassin... L'accès à l'arboretum se fait-il par le jardin ou bien la différence jardin-arboretum n'est-elle que théorique?
N'y a t'il pas eu aussi une énigme de l'été sur une statue de l'école?

le grand barde de PBA a dit…

quel endroit merveilleux , exactement le site idéal pour implanter le camp de nudistes si cher à Mme Hidalgo
z'en pensez quoi JPD??

LBL a dit…

Merci JPD pour cette invitation à la visite de ce vaste espace vert (RER A, station Joinville le Pont). On croirait un texte de Serge Gainsbourg.

JPD a dit…

Le poinçonneur des Lilas ?

LBL a dit…

Il me sembla y lire hier comme des envolées vers des jeux de mots, comme la lettre de George Sand à Musset et non, pas du tout.
J'irai au jardin du Breuil tentant de taquiner la muse quand même.